Présentation

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>

Recherche

Samedi 3 novembre 6 03 /11 /Nov 22:07

Bonjour à vous tous qui viendrez sur ce blog et surtout bienvenue !

Ici, vous pourrez trouver toutes sortes de textes et de récits érotiques pour vous réchauffer dans les nuits de solitude. Vous pourrez également envoyer vos propres créations pour les soumettre à l'oeil (impitoyable ou pas) du public. 

Nous acceptons toutes sortes d'orientations sexuelles (Hétéro, Homo, SM, Fetichismes divers, etc etc) et ne vous bridons pas sur vos fantasmes, seulement toutes les propositions pédophiles ou mettant en scène de près ou de loin des mineurs seront évidemment refusées.
Pour toutes propositions de textes, merci de les envoyer à er0tisme@yahoo.fr

Nous vous souhaitons d'agréables moments sur ce blog, n'hésitez pas à laisser des commentaires sur les textes que vous lisez, avez aimé ou pas, nous sommes à l'écoute de ce qui vous fait envie.


Bien à vous,
er0tisme.



P.S. Le site étant nouveau, il est normal qu'il n'y ai que peu de textes.

Par er0tisme - Publié dans : Accueil
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Samedi 3 novembre 6 03 /11 /Nov 23:00

Chapitre I

Léonor avait 28 ans, elle était plutot jolie.. De longs cheveux chatains et soyeux, de grands yeux verts, une peau de nacre.. Elle était ni trop grande ni trop petite et arborait de jolies rondeurs qui la sublimait.. Elle était mariée depuis 3 ans à Pierre.. Cadre supérieur aux revenus plus qu'honorables, mari dévoué qu'elle aimait plus que tout.. Il y avait juste un petit soucis.. Au lit ce n'était pas vraiment ce qu'elle espérait.. Pierre n'était pas très endurant et ne s'y prenait pas forcément de la meilleure manière.. Elle avait essayé de le faire s'améliorer pourtant mais il se vexait quand ils en parlaient.. Si bien que Léonor eut un amant qu'elle recevait souvent l'après midi chez elle.. Elle ne travaillait pas et n'avait pas encore d'enfant, ce qui fait qu'elle pouvait ce permettre ce genre d'après midi..
Un jour elle reçut une enveloppe avec une lettre et un cd-rom.. La lettre invitait à regarder la vidéo qui s'y trouvait dessus.. C'est avec surprise et gène qu'elle s'y découvrit en plein ébat avec son second homme.. Un voisin l'avait sans doute filmée à son insu.. La fin de la lettre mentionnait la chose suivante :
"Si vous ne souhaitez pas que votre mari et éventuellement quelques voisins, amis et familles reçoivent cette vidéo rejoignez moi demain après midi dans le parking de la Roseraie à 14h30. Vous y viendrez seule et avec la même tenue que sur la vidéo. Si vous parlez de cela à qui que ce soit je diffuserais la vidéo. Soyez à l'heure."
Léonor s'inquiéta quelque peu.. Ce parking était désaffecté depuis plusieurs années.. Personne n'y venait plus jamais, c'était un lieu propice à la délinquance.. Mais elle ne pouvait se permettre de faire capoter son mariage.. Elle se rendrait donc demain au rendez-vous..



Chapitre II

Après une nuit agitée, troublée par l'inquiétude et les remords, Léonor se leva tardivement, avala un rapide et tout aussi léger déjeuner puis fila se préparer pour son rendez-vous.. Elle devait porter un ensemble de dessous noir avec porte jarretelles et bas de la même couleur.. Au dessus un petit tailleur rose qu'elle réservait habituellement à son amant.. Ses jolis pieds chaussés d'escarpins noirs très fin et très féminins.. Elle prit sa voiture et se rendit au lieu donné.. Dans ce parking désert.. Personne à l'horizon.. Elle tournait pendant 5 minutes quand son portable se mit à sonner.. Elle stoppa et décrocha..

- Garez vous au 2ème étage, tout au fond à coté des automatiques à paiements.. dit une voix rauque qu'elle ne connaissait pas..
- Mais co.. Elle fut coupée par la tonalité du téléphone.

Elle alla donc se garer à l'endroit indiqué.. Il était sombre, humide et dégoûtant.. Elle n'était que très peu rassurée.. Son téléphone sonna de nouveau.

- Avancez jusqu'aux Automates et passez votre main dans le récupérateur à monnaie. Vous y trouverez un foulards noir.. Prenez le et bandez vos yeux avec. 

Elle exécuta les ordres et reprit le téléphone..

- Bien.. Posez les mains sur la machine et cambrez vous.. Dit il
- Non mais ça va pas ! Elle est dégueulasse la machine !
- Bien alors vous pouvez sortir le bandeau, rentrer chez vous et visionner ce film porno avec votre mari.. répondit il d'une voix aussi calme que glaciale.

Après ce cuisant rappel à l'ordre, Léonor soupira, raccrocha et s'exécuta.. Elle tendait l'oreille pour essayer de percevoir le moindre son.. Mais rien.. Elle sentait que ses jambes étaient en coton.. Elle avait mal à l'estomac, noué par la peur.. Etait-ce réellement là le prix à payer pour sauver son mariage ?

----

Mille questions et scénarii se bousculaient dans sa tête tant et si bien qu'elle ne fit pas attention qu'on s'approchait d'elle.. Soudain une main se posa sur sa croupe.. Une main forte et décidée.. Caressant, palpant ces fesses charnues qui s'offraient à elles au travers du tailleur bonbon.. La main inquisitrice releva la jupe laissant apparaitre deux globes rosés fendue d'un tissu de satin noir.. L'inconnu caressa quelques instants ces fesses offertes, la douceur de la peau.. Puis il avança sa main plus en profondeur caressant les lèvres de Madame au travers du string..
Léonor ne disait rien, ses mains tremblaient quelque peu.. Elle se sentait bizarre.. Comme tiraillée entre peur et attirance.. Mais quand la main de l'homme lui caressa le sexe elle n'eut plus de doute la situation l'excitait..

- Mmh.. Mais c'est qu'elle mouille la cochonne.. Le tissus de ton string est trempé..

Elle se sentit s'empourprer mais n'osa rien dire..
Il tirait maintenant sur le string, le faisant entrer entre les lèvres de cet abricot juteux.. Le sortant.. Titillant ainsi le clito de la victime séduite qui ne s'en trouvait que plus ravie.. Elle se tortillait à présent.. De plaisir et d'excitation.. Une main sévère s'abatit violemment sur son fessier dans un grand bruit.. Léonor sursauta quand une voix sévère se fit entendre.

- On ne bouge pas !

Elle s'immobilisa et tenta de se contenir.. L'homme d'un geste violent déchira un côté du string, puis l'autre le laissant tomber au sol.. Puis il roule les restes du tissus trempé en boule, ordonna à Léonor d'ouvrir la bouche et les fourra à l'intérieur.. Il attrappa un petit foulard dans sa poche et le noua bien fort sur la bouche de la jeune femme..
Léonor avait toujours aimé les plaisirs de la chair mais pour one ne sait quelle raison elle était toujours restée très classique.. Elle réprima un petit hoquet quand elle gouta sa liqueur.. Elle n'avait jamais bien apprécié les liqueurs corporelles.. Tant les siennes que celles des hommes.
Il commença à fouiller son intimité sans retenue ni douceur.. Et plus il la touchait brutalement plus elle appréciait.. De nouvelles moeurs lui apparaissait.. Comment n'avait-elle jamais su que la soumission lui plairait ? Se disait-elle. Se faire toucher par un inconnu, obéir à ses requêtes l'excitait grandement. 



Chapitre III

Plusieurs minutes d'examen plus tard, il la fit se redresser.. Lui tenant les mains dans le dos, il l'emmena vers un escalier qu'elle du descendre.. Il lui semblait être interminable et son ventre brulait de peur, car elle ne savait pas où elle allait, mais aussi d'excitation.. Elle aimait les mains fermes qui la tenait.. Ils arrivèrent enfin dans un sous sol que l'homme avait aménagé en donjon.. Si Léonor n'avait pas ce bandeau sur les yeux, elle eut pu voir une salle sombre éclairée par des bougies.. De nombreux instruments fixés sur les murs.. Une grosse roue de bois.. Quelques fins matelas au sol.. Une table de bois.. Un gros fauteuil posé à côté d'un petit lit métallique.. En somme ce n'était pas le grand confort mais cela suffirait..
Il la plaqua contre un mur qu'elle pu sentir rêche, et dégrafa robe et soutien gorge qu'il laissa choir au sol. Puis il attrapa une paire de menottes et lui attacha les poignets.. Il raccorda le tout à une corde qui pendait au plafond et lui étira tant et si bien les bras que seule la pointe de ses orteils touchaient le sol.. Il attrapa une cravache et commença à lui en donner de petits mais vifs coups sur les fesses.. Dix de chaque côtés..
Léonor ne s'attendait pas à ça.. Le premier coup lui cingla la fesse dans une brulure vive.. Elle poussa un petit cri étouffé par le bâillon de fortune et elle se tortillait tant bien que mal essayant d'éviter les coups..
Lorsqu'il eut terminé il lui dit :

- Désormais je serais ton Maître et tu te soumettras à Moi et à toutes mes volontés sans exception.. Tu es une salope qui trompe son mari, tu ne mérite que d'être dressée.. Je t'appellerais et tu viendras à moi.. Tu ne verras plus ton amant.. Je te ferais jouir si tu le mérites.. Et si tu me désobéis je te punirais.. Si tu vas trop loin dans la désobéissance ou que tu parles de ça à quelqu'un je montre tout ce que j'ai filmé à ton homme.. Que penserait-il de voir sa femme en trainée en train de se faire prendre par un autre ?

L'homme rit d'un rire plutot sadique avant de continuer..

- Tu viens de recevoir 20 coups de cravache mais j'ai été gentil.. J'aurais pu frapper plus fort mais je ne l'ai pas fait.. Ceci n'est qu'un avertissement.. Les prochaines punitions seront, crois moi, beaucoup plus douloureuses..
Compris trainée ?

Elle acquiesça d'un signe de tête. Elle avait les fesses qui la brulait.. De grandes zébrures rouges venaient à présent les lui colorer.. Elle avait un peu mal mais était terriblement excitée.. Elle pouvait sentir sa liqueur se répandre sur ses cuisses.. Elle avait honte de mouiller de la sorte et espérait que son "bourreau" ne le verrait pas.. Manque de chance, il vint vers elle et porta un doigt sur son sexe inondé.. Quand il s'aperçu à quel point elle était trempée il lui sorti le baillon, ordonna d'ouvrir les cuisses et ramassa autant de nectar qu'il put sur sa main pour le lui faire lécher entièrement.. Elle réprima une grimace mais il lui dit qu'elle devrait apprendre à aimer..



Chapitre IV

L'homme détacha enfin Léonor et lui fit poser la poitrine sur la table.. Ainsi courbée en deux elle ne pouvait rien cacher de son anatomie.. Il inspecta alors son anus.. Lui caressant du bout du doigt.. Il remarqua qu'elle ne devait pas avoir l'habitude d'utiliser cette voie là.. Elle pu alors sentir le doigt s'enfoncer lentement en elle. Elle ne trouvait pas ça désagréable.. Puis elle senti qu'il le retirait d'elle.. Soudain une violente douleur lui déchira les entrailles.. Elle se mordit les lèvres pour ne pas hurler comme si elle avait su qu'elle ne devait pas. Il était entré en elle sans prévenir, sans précaution, sans ménagement.. Il resta sans bouger quelques instants.. A vrai dire le temps que la douleur qu'elle ressentait s'estompe un peu. Puis il commença de petits mouvement aussi doux que possible.. Léonor, calmée, commençait à apprécier les caresses. Elle poussait de petits gémissements et mouillait abondamment.. Il accéléra alors les mouvements, de plus en plus vite, de plus en plus fort, de plus en plus profond.. Et plus il la sodomisait plus elle gémissait.. Elle regrettait de n'avoir jamais osé tester avant !
Quelques minutes plus tard elle se laissa aller à un puissant orgasme qui lui ravageait tout le ventre.. Lui dans quelques râles prévint qu'il allait jouir aussi.. Il se retira alors, la fit se tourner et lui éjacula sur le visage.. Il étala sa semence avec son membre.. Lui en mettant sur les joues, les lèvres, le nez.. Il l'allongea sur la table et alla s'asseoir dans son fauteuil quelques minutes le temps de récupérer un peu..
Léonor était à bout de souffle elle tremblait encore de cette intense jouissance qui l'avait littéralement terrassée.. Elle avait jouit comme jamais.. C'était la révélation !
L'homme se releva et vint détacher les mains de Léonor.. Il lui tendit un verre d'eau qu'elle but d'une traite..
Lorsqu'elle eut fini il se plaça derrière elle et lui sorti le bandeau des yeux.. Il lui interdit de se retourner. Elle observa alors le peu de la pièce qu'elle pouvait voir.. Elle n'en croyait pas ses yeux..
Puis il vint se placer devant elle.. Elle reconnu un ami de son amant, Arthur.. Elle le frappa sur la poitrine..

- Salop ! Pourquoi ?! Espèce de salop !

La porte s'ouvrit et elle put voir entrer son amant suivit de son mari..

- Calme toi.. dit Pierre. Tout vient de moi.. Tu as rencontré Lionel (son amant) grace à moi.. Tu es là aujourd'hui grace à moi..
Je te veux soumise.. J'ai su que tu apprécierais aujourd'hui.. Et ne dis pas le contraire on t'a vu jouir comme une salope..On t'a entendu gémir comme une chienne.. Tu as aimé.. Tu as mouillé comme jamais..

Elle ne savait plus quoi penser.. D'un côté elle lui en voulait d'être passé par tant de stratagèmes pour arriver là mais d'un autre elle avait tellement apprécié cette séance.. Elle était perdue.. Elle pleurait..

- Pourquoi Pierre ? Pourquoi ne m'avoir pas parlé ? Pourquoi m'avoir fait peur ?
- Pour te tester Amour, pour te tester.. Tu sais désormais de quoi je suis capable..

Il lui tendit alors un collier en cuir avec un anneau argenté..

- Veux tu devenir ma soumise ?

Elle hésita puis se jeta dans ses bras et l'embrassa en guise de réponse..

Lionel et Arnaud, deux soumis d'une amie dominatrice au mari repartirent chez leur maitresse, Léonor et Pierre vivent de nombreuses et intense séances de domination/soumission qui les comble complètement.. Leur vie sexuelle a retrouvé un éclat digne de ce nom..
Et qui sait ? Peut-être vous conterais-je quelques unes de leurs aventures.

Par er0tisme - Publié dans : Textes et Récits d'er0tisme
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Samedi 3 novembre 6 03 /11 /Nov 23:15
Chapitre I


Voilà 3 mois que Léonor et Pierre, son mari, avaient fait leur "coming out" sm.. Tout se passait désormais pour le mieux dans leur vie de couple, c'était comme une renaissance de leur vie sexuelle.. Pierre n'avait jamais osé avouer à son aimée ses penchants pour la domination et elle qu'elle s'ennuyait au lit.. Aujourd'hui tout était rentré dans l'ordre..

Ce matin Léonor s'était levée quelques heures après son Mari et désormais Maître.. Elle avait eu le plaisir de trouver un petit mot à côté de son oreiller.. Elle décacheta l'enveloppe et pu lire :

"Bonjour Amour..

Ce soir nous sortons, j'ai préparé ta tenue dans le dressing.
Tu sais comment te préparer, comme je t'aime.
Sois prête pour 20h et ne sois pas en retard !

Je t'aime, bonne journée."


Elle eu un petit sourire et se leva.. Elle passa la journée à se prélasser.. Bronzer un peu au bord de sa piscine.. Prendre un long bain moussant parfumé à la noix de coco.. Vint rapidement l'heure de se préparer.. Elle s'habilla des vêtements préparés par son mari.. Un ensemble de sous vêtements en soie rose bébé renforcé de rubans noirs.. Un porte jarretelles assorti ainsi que de brillants bas noirs.. Une robe de soirée magnifique, noire, laissant sa poitrine généreuse bien en valeur, fendue des deux côtés jusqu'au milieu des cuisses et arrivant juste au dessous des genoux..
Elle ajouta au tout un somptueux collier de perles blanches, des boucles d'oreilles et le bracelet assorti, puis jeta un dernier regard dans le miroir.. Elle était tout simplement fabuleuse..
Ses longs cheveux châtains étaient remontés en un chignon savamment négligé, sa peau de nacre contrastait à merveille avec le tissus de cette robe.. Tout était parfait.
Pile à l'heure ! L'on sonna à la porte.. C'était un homme habillé d'un uniforme de chauffeur..

- Bonsoir Madame, votre mari m'a chargé de vous conduire à votre lieu de rendez vous. Veuillez me suivre s'il vous plait.

Ce qu'elle fit volontiers.. Elle grimpa alors dans une grosse berline noire. A l'intérieur des sièges en cuir blanc l'attendaient ainsi qu'une enveloppe..

"Amour,

Ôte ici ta culotte, dépose la dans l'enveloppe que tu me remettra dès que nous nous verrons.
Sois bien sage avec Romuald."


Léonor rougit. Se déshabiller devant le chauffeur, tout de même.. Elle était très gênée mais elle devait obéir.. Elle choisi un moment où elle cru qu'il ne regardait pas dans le rétro et essaya le plus discrètement possible de retirer son dessous.. Manque de chance l'homme remarqua le manège et lança :

- Besoin d'un coup de main Madame ?

Sans attendre la réponse il s'enfila sur une aire de repos à cette heure désertique et sombre.. il se gara derrière d'un arbuste touffu descendit et ouvrit la porte à la jeune femme en lui ordonnant de descendre.. Elle se hasarda à répondre :

- J'ai rendez-vous, je ne dois pas être en retard..
- Ne vous en faites pas, votre mari m'a dit d'être au lieu de rendez vous pour 21h30, nous avons largement le temps qu'il faut. Répondit il avec un sourire charmeur.

Léonor songea à la dernière phrase du message.. "Sois bien sage avec Romuald".. Ajoutons à ça le fait qu'elle n'ait rendez vous qu'à 21h30, ce devait sans doute être une épreuve qu'il lui faisait passer. Elle devait se montrer docile avec cet homme. Il n'était pas si mal après tout ! Plutôt grand, de grands yeux noisettes et de courts cheveux bruns.. Il y avait pire..


Chapitre II

Elle descendit alors de la voiture pour rejoindre l'homme..

- Je les connais bien les filles de ton genre.. Les couples de votre genre..

Que voulait-il dire ? Était-ce un habitué du milieu sm ? Sans doute.. Elle ne dit mot et se laissa faire. Il l'entraîna alors contre le capot encore chaud de la voiture.. Elle s'allongea face à celui ci et lui, lui remonta la robe sur les reins..

- Tu as un bon cul.. Tu dois être une vicieuse on le sent que t'aimes le sexe..

Il déboutonna son pantalon, passant son gros membre à demi bandé contre le sexe de Léonor, la caressant ainsi quelques secondes.. Il la retourna et la fit mettre à genoux devant lui.. Son sexe tendu devant son visage. Machinalement elle ouvrit la bouche pour le recevoir..

- Non, ma belle, pas encore.. Pour une fois que je peux me taper une bourge dans ton genre je vais pas précipiter les choses !

Il claqua doucement sa bite contre le visage de la jeune femme.. Lui passant sous lui nez, sur les joues.. Partout sur son visage.

- Lèche ! Dit il en lui montrant ses deux grosses prunes.

Peu assurée Léonor lapa timidement les bourses de Romuald qui lui enfourna alors dans la bouche.. 

- Allez suce les bien ! Montre moi comme tu es une belle salope.. Tu ne voudrais pas me décevoir tout de même ?

Oh que non elle ne le voulait pas ! Décevoir le chauffeur serait faillir à son devoir de soumise et donc décevoir Pierre. Elle s'appliqua alors à les lécher, les sucer, les aspirer.. Romuald poussait de petits grognements puis se retira pour lui présenter son gros braquemart.. Elle le prit en main, le branlant en même temps qu'elle léchait le gland d'où s'écoulait quelques gouttes de nectar.. Puis elle lécha le membre sur toute sa longueur.. De la base jusqu'au gland, aucune parcelle de chair ne lui échappait.. Elle le fourra dans sa bouche et entama alors de lents va et viens.. Lents mais profonds.. Romu' attrapa Léonor par les cheveux et lui donna l'allure.. De rapides et plus que profondes caresses.. Elle manqua plusieurs fois de suffoquer pendant qu'il râlait de plaisir.. Soudain il stoppa.

- Allez, sur le capo dépêche toi..

Elle s'allongea, il lui écarta les jambes et s'introduit sans ménagement en elle. Elle pensait à Pierre.. Le corps de pierre sur elle, lui en elle.. Comme ça elle n'avait pas l'impression de le tromper. Romuald la besogner violemment, donnant de puissants coups de boutoir..

- Ah salope c'que c'est bon ! T'aimes ça te faire prendre espèce de chienne !

Il s'excitait sur elle, se débattant en elle.. Frappant sur sa matrice, elle, gémissant doucement, s'approchant peu à peu du plaisir.. Il ralentit puis réaccelera.. Elle s'agrippait au capo, poussant maintenant de plus intense gémissement..

- Je.. Je vais.. jouir.. Dit-elle

Il stoppa alors brutalement, la faisant descendre du capo et la remettant à genoux.

- J't'ai pas permis de jouir sale bourge. Suce !

Étonnée et frustrée Léonor reprit le sexe de Romuald en bouche.. Lui, reprit ses puissants va et viens et quand il jouit il serra la tête de Léo' contre lui afin qu'elle avale toute sa liqueur. Quand elle eut dégluti et avalé la totalité de son lait d'amour il relâcha son étreinte. Elle réajusta sa robe et s'essuya la bouche.

- Allez, en voiture.. Ou vous allez être en retard sinon.

Le reste du voyage se déroula sans bruit, sans parole. Lui concentré sur la route, elle un peu hagarde assise sur la banquette arrière.. Elle n'en revenait pas de ce qu'elle venait de faire. Un quart d'heure plus tard la voiture arriva devant un club. 


Chapitre III

Le Pacha.. Ça avait l'air bien, classe, select même.. Romuald lui ouvrit la porte et elle descendit.. Il claqua la porte derrière , lui fit un clin d'oeil et lui lança un "bonne soirée" avant de repartir. Léonor entra en indiquant qu'elle était attendue à l'intérieur. On la conduisit à la table de Pierre qui l'embrassa délicatement et elle lui remit l'enveloppe avec son dessous..

- Tu es en retard.

Léonor regarda l'heure de son portable.. 21h20..

- Mais non je suis en avance tu as dit 21h30 au chauffeur..
- Vous.. répliqua t il sèchement.. Je lui ai dit de te conduire immédiatement et que j'arriverais vers 21h30.. Qu'avez vous fait tout ce temps ?
- Mais je croyais que c'était encore une épreuve.. Il a dit que.. Enfin t'avais marqué que je devais être sage avec lui.. Et il m'a..
- Peu importe. La coupa t il. Ce qui est fait est fait. J'espère que tu as pris ton pied. Bref. Nous allons dîner.. Avant j'ai quelque chose pour toi.

Il lui tend une boite rouge bordeaux.. Elle le remercia et ouvre le paquet. A première vue c'était une belle culotte noire.. Pourquoi diable lui offrait il une culotte en plein restaurant ? Elle ne pouvait la défaire du paquet devant tout le monde..

- Prend le paquet va aux toilettes et mets ton cadeau..

Léonor se leva tranquillement et se dirigea vers les toilettes.. A l'intérieur de la cabine elle pu découvrir totalement son cadeau.. C'était en fait une culotte mais elle avait quelque chose de spécial.. Comme une petite bosse en caoutchouc à l'entre jambe.. Elle enfila cette culotte.. La bosse se trouvait pile poil sur son clitoris.. A quoi ça pouvait donc servir ? Léonor reparti à sa table.. En marchant elle s'aperçut que la bosse lui procurait des sensations, elle frottait agréablement contre son petit bouton à plaisir.. Heureusement qu'elle n'avait que quelque pas à faire.. Elle se rassied et fait un clin d'oeil à son mari.. L'on vient servir deux coupes de champagne en guise d'apéritif.. Léonor sourit au serveur qui s'en allait et commença à tremper ses lèvres dans sa coupe quand soudain elle sentit quelque chose vibrer entre ses jambes lui provoquant de terribles vagues de plaisir ! Voilà donc à quoi servait cet instrument ! En la voyant soudainement s'agiter sur sa chaise Pierre eut un grand sourire qui s'afficha sur ses lèvres. Les vibrations cessèrent et Pierre lui montra une télécommande. Il s'avança vers elle et lui dit.

- Je peux contrôler ta jouissance à distance avec ça.. A toi de savoir te contenir

Léo' sentait que l'instrument de plaisir allait se révéler être un instrument de torture. Elle rougissait déjà à l'idée qu'il soit activé devant tout le monde. Allait-elle savoir se maîtriser ?
Le dîner continua de manière très agréable.. Ils parlèrent ensemble de choses et d'autres. Ils abordèrent la question d'un bébé, du futur, des choses habituelles à un couple quoi.. Arriva le moment de commander les desserts.. Le serveur attendait de noter le choix de Monsieur.. Puis vint à Madame de parler.. Au moment même où elle ouvrit la bouche Pierre mit en route le vibromasseur.. Léonor devint toute rouge et bégaya sa commande..

- Vous êtes sur que vous allez bien Madame ? Demanda le jeune serveur l'air inquiet.
- Oui, chérie, tu vas bien ? Ajouta Pierre d'un ton moqueur.
- Im.. Im..pe..ccable.. répondit elle.

Elle réussi enfin à lacher sa commande et le serveur prit la route des cuisines.. Pierre, lui, cessa l'action de la culotte magique. Il la regardait en souriant, elle lui lança un regard noir.

- Faudra bien t'habituer ma douce. Dit il d'un ton rieur mais sévère.

Le café arriva enfin et l'heure de repartir.. Il déposa le manteau de la belle sur ses épaules, lui prit la main et la conduisit à la voiture..

- Rentrons maintenant, j'ai mille et une chose à te faire découvrir.


Chapitre IV

Le trajet se passa tranquillement..
La voiture pénétra dans le garage qui se referma sur les deux jeunes gens.. Aussitôt sortis de la voiture, Pierre demanda à Léo' de passer son collier de soumise.. Il le lui avait offert après son initiation.. Un somptueux collier de cuir noir avec un anneau argenté brillant comme une étoile. Elle devait le mettre à chaque fois qu'ils étaient chez eux.. C'est ce qu'elle fit ce soir.. Il sorti alors une laisse argentée tout aussi brillante et l'attacha au collier afin de mener Léonor où il le désirait.. Ce soir ce serait dans son petit atelier qu'il avait aménagé en donjon de fortune.. Si tôt entrés dans la pièce il lui ordonne de se dévetir entièrement sauf porte-jarretelles et bas. Une fois nue il lui sorti sa laisse et l'attacha au plafond par les mains.. Il la leva afin que seul le bout de ses gros orteils touchent le sol, autant dire que c'était une position inconfortable et quelque peu douloureuse. Mais Léonor aimait que son Maître l'attache, elle aimait qu'il la possède et fasse ce qu'il voulait d'elle.. Elle aimait être à lui. Elle supportait donc la pose.. Pierre alla chercher deux godes, un moyen et un normal.. Il plaça le plus petit dans l'anus de sa soumise et l'autre dans son vagin.. Léonor avait maintenant pris l'habitude qu'on la sodomise et même qu'on la pénètre doublement, elle appréciait même grandement ces deux pratiques.. Il lui renfila alors sa culotte magique, lui banda les yeux, la baillonna, éteint la lumière, ferma la porte et s'en alla regarder la télévision. Il la laissa ainsi plusieurs longues minutes quand il activa les vibrations de la culottes.. Aussitôt Léonor se mit à gigotter.. Le plaisir montait en elle, elle le sentait courir et mordre son ventre.. Chatouiller ses entrailles.. Diantre c'qu'elle aimait cette sensation.. Elle avait toujours aimé ça les plaisirs de la chair, jouir, les orgasmes, toutes ces sensations qui faisaient qu'elle se sentait si bien.. En quelques minutes elle jouit d'un puissant orgasme.. Les vibrations titillaient son clito, ses gigotements faisaient bouger les phallus synthétiques en elle.. . Elle tremblait de plaisir, dans les vaps quelques secondes.. Un autre orgasme la frappa alors de plein fouet.. Les vibrations ne s'arrêtait pas et elle jouissait encore et encore.. Le plaisir se transformant peu à peu en torture.. Ça ne s'arrêtait pas, elle avait mal aux bras, son clitoris la démangeait.. Elle aurait voulu hurler de plaisir, de douleur, de jouissance, de mal être mais elle ne pouvait pas, ce foutu bailla réprimait tous ces cris, gémissements et autres bruits.. Elle mouillait tant que son nectar coulait abondamment sur ses cuisses Elle ne savait plus quelle heure il était ni combien de temps ça faisait qu'elle était comme ça.. Elle n'était même plus sure de savoir où elle était et qui elle était, elle semblait complètement déboussolée, toutes ces émotions, ses sensations se mélangeant en elle.. C'était bon, ça faisant mal, c'était délicieux, ça lui brûlait le ventre, elle voulait pleurer, continuer à jouir sans retenue, que ça s'arrête.. Les godes lui fouillaient les entrailles.. Oh dieu que c'était bon.. Elle ne savait plus ce qu'elle voulait, que ça dure encore et encore, que ça s'arrête.. Elle ne savait plus rien.. Elle n'était plus que tremblement et jouissances.. Elle avait l'impression que ça faisait des heures qu'elle était comme ça.. Elle était au bord de l'évanouissement quand Pierre vint la libérer.. Il arrêta la culotte, la lui sorti, lui enleva les godes et enfin la détacha. Léonor lui tomba littéralement dans les bras.. Elle était à demie consciente, ses jambes tellement en coton qu'elle ne pouvait plus se tenir.. Il l'embrassa, lui caressa les cheveux et la porta jusque dans leur lit.. Il l'allongea et la borda, enfin il alla s'asseoir dans un fauteuil à côté d'elle et la regarda dormir ainsi durant quelques heures avant de s'endormir à son tour..


Chapitre V

Le lendemain matin Pierre se réveilla le premier, légèrement engourdi par la nuit dans le fauteuil.. Léonor, elle, dormait encore à poing fermé.. Il l'attendit alors dans le salon, devant la télé et une bonne tasse de café.. Elle se leva une quinzaine de minutes plus tard.. Ses jambes lui semblaient en coton.. Elle avait des courbatures partout..

- Ah tu es enfin levée !
- Bonjour Maître. Répondit Léonor en se mettant à genoux, la tête baissée devant son maître.
- Hier soir je t'ai punie pour t'être donnée à Romuald sans mon consentement. Comme ce n'est qu'à moitié de ta faute j'ai pensé que c'était la meilleure punition qu'il soit.. Plaisir transformé en douleur..
- Merci Maître.

Il la releva et l'embrassa tendrement.. Aujourd'hui c'était samedi, il n'avait pas à travailler, il avait décidé qu'ils iraient faire du shopping..

Aujourd'hui elle devait porter une robe rouge tout à fait fluide et légère qui lui arrivait à mi cuisses. Elle n'avait pas l'autorisation de porter de sous-vêtement ce qui n'était en soi pas un mal pour le haut mais pour le bas c'était une autre histoire.. Pierre savait que l'on ne voyait rien, mais Léo' elle se sentait nue.. C'était de ce malaise là qu'il souhaitait jouer..
Première étape : Une jolie petite boutique de chaussures. Elle devait acheter une paire d'escarpins à très hauts talons. Le plus dur aller être de s'asseoir pour essayer les chaussures sans que personne ne voit son intimité.. Tant bien que mal Léonor réussit à garder cette partie d'elle cachée.. Elle était très mal à l'aise mais cette situation l'excitait.. Ce qui renforçait son mal être puisqu'elle avait l'impression que son sexe coulait d'excitation.. Il n'en était rien.
Lorsqu'elle marchait dans la rue, elle pensait que tout le monde voyait qu'elle ne portait rien, qu'elle était excitée.. Comment pourrait-elle justifier ceci ? Elle sentait ses joues s'empourprer..
La seconde étape arriva. Un magasin de vêtements bondé ! Du monde partout.. Quelle gène pour Léo' ! Pierre lui choisit quelques vêtements assez sexy pour ne pas dire vulgaires.. Elle essayait de les rouler autour de son bras afin que personne ne puisse distinguer ce qu'elle aller essayer.. Ce serait déjà bien assez embarrassant à la caisse lorsque la vendeuse dépliera les habits pour passer les codes barres ! Elle fila dans une cabine qui venait de se libérer, Pierre prit soin de fermer le rideau.. Il laissa quelque centimètre d'écart de chaque côté des cloisons.. Léonor pensait que tout le monde pouvait la voir, en réalité seule la personne qui sortirait de la cabine à côté aurait ce privilège.. Une vendeuse passa alors tout près de là, voyant Pierre attendre elle lui demanda si les essayages allaient bien.. Il lui suggéra de remporter les vêtements qui ne convenaient pas.. La vendeuse passa la tête dans la cabine pour les récupérer, elle pu constater que Léonor n'avait pas de dessous.. Elle la toisa d'un air hautain en prenant les dits vêtements.. Léonor était alors rouge comme une pivoine.. Elle se hâta de terminer, ils passèrent à la caisse..
Troisième magasin.. De vêtements toujours.. Une grande enseigne peu peuplée.. Il lui choisit ici aussi tout un tas de vêtements à essayer.. Au moment de passer en cabine il entra avec elle. Il lui chuchota à l'oreille qu'ils allaient faire un jeu et qu'elle allait devoir être sage.. Il lui banda les yeux et l'attacha à la barre qui servait de porte manteau puis il sorti de la cabine la laissant ainsi plus d'un quart d'heure.. Léonor était terriblement gênée, n'importe qui pourrait rentrer et la trouver ainsi.. Quelle honte !



Chapitre VI

Léonor était attachée dans cette cabine depuis maintenant 20 minutes.. Elle avait des noeuds dans le ventre de peur qu'on la voit.. Soudain elle entendit le rideau coulisser légèrement.. Elle chuchota..

- Pierre ? C'est Vous ?

Aucune réponse.. Elle ne reconnaissait pas l'odeur de son mari.. Ça sentait poivré.. Non, Pierre ne mettait pas ce genre de parfum.. Léonor commença à gigoter pour essayer de se libérer quand elle sentit une main se poser sur son sexe.. Elle ne savait que faire.. Devait elle se laisser faire pour ne pas alerter les gens et qu'on la voit ainsi ? Devait-elle appeler à l'aide ? Mais bon sang quelle foutue idée Pierre avait eu ! Plus insistante la main s'insinuait en ses chairs, la fouillant maintenant.. Indélicate main. Pendant que deux doigts pénétraient en elle le pouce remuait sur son clito.. Rapidement, sans délicatesse.. Mais ces caresses si brutales qu'elles soient ne laissaient pas notre chère Léo' indifférente.. Elle commençait à mouiller, à gémir et haleter.. Elle se rappela qu'elle ne pouvait se permettre le moindre bruit.. La torture commença.. Elle se mordait les lèvres, serrait les dents pour être certaine de n'émettre aucun bruit.. Et on continuait à la caresser encore et encore quand on la cambra autant que l'on pouvait tirant sur ses bras entravés.. Le bruit d'une braguette et elle senti un bâton de chair entrer en elle.. Et l'on commença à se mouvoir dans son ventre en donnant des coups secs et profonds. Et son excitation coulait sur les Cuisses de la jeune femme. Oh diable c'qu'elle aimait se faire baiser. Elle aurait voulu qu'on la baillonne pour être certaine qu'elle ne ferait pas trop de bruit mais rien.. Elle se mordait les lèvres et les joues, fermait fort les yeux, serrait les dents de toutes ses forces.. Qu'il n'était pas aisé de se retenir ! Et si Pierre revenait ? Si il la voyait en train de prendre du plaisir avec un autre ? Un inconnu qui plus est ! Elle était un belle salope ! Jouir avec n'importe qui ! Et l'on continuait à la besogner fort, intensément, cognant sur sa matrice à chaque coup, lui déchirant un peu plus les entrailles d'un plaisir qu'elle ne pouvait exprimer.
Puis l'on se retira d'elle pour mieux y revenir par les reins.. S'enfonçant lentement, centimètre par centimètre.. Quelle torture ! Léonor n'avait jamais pu résister à une sodomie ! Quand le sexe était entré à fond en elle, il s'immobilisa quelques secondes avant d'entreprendre de virils va et viens. C'en était trop ! Léonor était au bord de l'explosion. Elle entendit soudain la voix de son mari derrière le rideau.

- Léonor, Amour, tu as fini d'essayer ? Je peux entrer voir ce que ça donne ?

Paniquée Léonor commença à se débattre pour que l'homme la lâche, mais rien n'y faisait il continuait à la prendre encore et encore. Elle répondit alors d'une voix mal assurée.

- Euh non, pas encore, j'ai pas fini d'enfiler celle ci..
- Tu es sûre que tu ne veux pas que je t'y aide ? répondit Pierre d'une voix faussement innocente.
- Non, non, ça va aller.

Elle chuchota à l'homme de la laisser que son mari allait entrer. C'est là qu'elle pensa mais comment faire sortir cet homme sans que Pierre ne le voit ?

- Mon chéri pourquoi n'irais tu pas me chercher la robe jaune dans la taille au dessous s'il te plait ?
- Mais non, elle sera trop petite. Bon je n'y tiens plus j'entre !

L'on entendit le rideau bouger un peu.

- C'est donc pour ça que tu ne voulais pas que j'entre.. Bravo Léo'. Je te félicite une fois de plus.

L'homme se retira d'elle, la braguette remonta, le rideau bougea. Pierre détacha alors Léonor. Elle le regardais avec des yeux de chien battu et chuchota mille excuses..

- Habille toi et dépêche toi, on rentre.

Dans la voiture le parfum de l'inconnu flottait encore.. Léonor culpabilisait de n'avoir pu se défaire de l'étreinte de ce mâle, d'avoir déçu Pierre. Elle savait qu'elle allait déguster en rentrant. Elle appréhendait un peu. Elle était mêlée entre la crainte et le désir. Elle aimait les punitions, elle n'allait pas s'en cacher. La douce morsure de la cravache. La douceur de la cire d'un bougie sur ses seins. Le sang en ébullition, le ventre qui chatouille et le coeur qui palpite. Ce désir envahissant et cette peur enivrante, cette douleur lancinante et déroutante. C'est pour tout ça qu'elle aimait les punitions. Cette explosion de sentiments et ressentis divers la comblait. Que pouvait être quelques temps de douleur lorsqu'ils s'opposaient à ce divin nectar d'émotions ?! Elle se prenait alors à rêver de mille et une punitions.




Chapitre VII

Arrivée chez eux, Léonor mit son collier sans qu'on lui demande, Pierre ne prit même pas la peine de lui mettre sa laisse, il attrapa l'anneau du collier et l'emmena comme ça dans son atelier. Il l'attacha sur une croix en bois qu'il avait fabriquée lui même. Lui banda les yeux, lui fixa une trentaine de pinces sur tout le corps. Sur ses seins, son ventre, son clito, ses lèvres, ses cuisses. Léonor tentait de se tortiller mais elle était solidement fixée. Qu'allait-il faire ? Le bandeau renforçait le stress de ne pas savoir.. Pierre de son côté attrapa une cravache et commença à viser les pince puis il donna un premier coup qui fit sauter une pince. Léonor poussa un petit cri. C'était donc ça ! Ça allait durer elle le sentait. Pierre donna encore une dizaine de coups faisant sauter 3 ou 4 pinces puis il échangea la cravache contre un martinet et recommença à frapper avec plus ou moins de précisions, faisant de temps à autre s'échapper une pince ou deux. Au bout de 10 minutes et une bonne centaine de coup plus tard toutes les pinces avaient quitté le corps de Léonor qui n'était plus que douleur et morsures, plus que désir et excitation aussi.
Pour clore cette punition, Pierre vint lui donner un baiser.. Léonor reconnu le parfum de l'homme de la cabine, elle s'écria alors :

- Trompeur ! C'était toi dans la cabine !

Pierre rit, puis repris sa contenance.

- Dis donc ! Depuis quand t'as la permission de me tutoyer ?! Jeune fille je crois que vous êtes mal partie !

Pierre détacha sa soumise et la rattacha au plafond comme la veille. Il sorti de la pièce et revint avec un grand bol rempli de glaçons. Léonor qui n'y voyait toujours pas se demandait quelle punition il allait encore inventer ! Soudain elle senti qu'on lui écartait les jambes.. Pierre lui attachait en effet les jambes au mur en face, de manière à ce qu'elles soient très écartés. Ses parties intimes étaient désormais à la merci de l'imagination de Pierre. Il attrapa alors quelques glaçons et lui introduit dans l'anus. Léo' au contact du froid gigota.. Les glaçons lui piquaient les reins. Pierre en introduit autant qu'il pu et mis une bassine sous Léonor.

- Si il y a la moindre goutte d'eau dans la bassine quand je reviendrai, je te promets Amour que tes fesses vont rester rouges quelques jours durant !

Léonor avait mal aux bras et aux jambes et elle allait sans doute devoir rester dans cette douloureuse position quelques heures.. Elle serra les fesses afin de ne pas échapper les glaçons, ce qui lui valu de désagréables sensations dues au froid. Mais là n'était pas le plus dur.. Le plus difficile serait de retenir l'eau quand les glaçons auront fondus.
En effet quelques temps plus tard Léonor avait mal au ventre non seulement par toutes ces courbatures dues à la position mais aussi parce que l'eau en elle lui était douloureuse. Des gargouillis venaient amplifier cette sensation de ballonnement.. Elle n'était pas habitué à ce genre d'expérience.. Heureusement Pierre arriva et la libéra.

La soirée se passa alors tranquillement entre eux.. Ils dînèrent et regardèrent un film, elle niché dans les bras sévères mais protecteurs de son homme.. Elle aimait ces moments de tendresse entre eux après une séance intense. Après le film il la porta jusque dans leur chambre leurs bouches collées l'une à l'autre..
Il la déposa tendrement sur le lit, ses yeux plongés dans les siens, il lui caressait les bras, les flancs jusqu'aux hanches et remonta emportant son t-shirt avec. Il lui embrassa alors le coup la léchant du bout de sa langue vigoureuse descendant au creux des clavicules, entre les seins jusqu'au nombril remontant vers le seins droit.. Il agaça le téton de sa jolie femme de la pointe de sa langue puis le prit en bouche le suçant, la léchant, le mordillant, le pinçant entre ses lèvres. Léonor commençait à haleter, ses seins étaient plus sensibles depuis qu'ils pratiquaient les jeux de pinces.. Elle se cambrait sous les caresses aimantes de son mari. Le sein gauche eu droit au même traitement. C'est ensuite son short qu'il retira.. Puisqu'elle était en pyjama elle ne portait pas de dessous, il eu alors un accès direct à son sexe humide de désir.. Il l'embrassa longuement sur chacune de ses parcelles puis inséra délicatement sa langue dans les chairs.. Lapant le jus d'amour de Léonor tremblant de plaisir. Il aspira dans sa bouche son petit bouton d'amour frétillant, tournant sa langue autour l'enveloppant et le suçant. Léo' n'était plus que braise, elle n'en pouvait plus elle aurait voulu qu'il la prenne là, sauvagement. Mais Pierre faisait durer le plaisir, il introduit deux doigts en elle tout en lapant son clitoris. La baisant de ses doigts, la léchant. Elle tremblait et se cambrait de plus en plus, la tête jetée en arrière les yeux clos et les mains crispées sur les draps.. Il lui offrit ainsi deux orgasmes..


Chapitre VIII

Léonor, après un pareil traitement souhaitait ardemment rendre la pareille à son aimé.. Elle le fit asseoir sur le lit et se mit à genoux devant lui. Elle le regarda un instant dans les yeux, un air coquin dans le regard et de la tendresse à l'état pur émanant d'elle tout entière. Elle prit alors le sexe déjà bien dur de Pierre et commença à le caresser délicatement. Pendant qu'elle le masturbait elle embrassa fougueusement son mari. Puis elle se pencha et vint lécher le bout de son sexe doucement, enroulant sa langue autour, le faisant frétiller de désir. Puis elle le prit en bouche et entreprit de profonds va et viens pendant que Pierre lui caressait amoureusement les cheveux. Elle le suça pendant de très longues minutes variant rythmes, intensité et profondeurs, lui caressant les bourses en même temps.. Puis pierre la souleva, l'allongea, écarta ses jambes et vint posant son gland contre son clitoris il la caressa ainsi quelques instants avant de présenter son pénis à l'entrée de sa grotte d'amour. Il poussait mais faisait en sorte de ne pas y entrer afin d'exciter au maximum sa dulcinée qui ondulait du bassin pour essayer d'être pénétrée. Il l'entra alors très lentement, puis entreprit de très lents va et viens avant d'accélérer le rythme. Léo' était en feu, elle n'allait pas être longue à jouir. Il allait et venait rapidement quand elle s'abandonna à la jouissance. Il s'arrêta quand elle eut jouit, il s'allongea à côté d'elle la prit dans ses bras.. Tout deux en sueur, essoufflés, haletant, elle tremblante. Ils se reposaient quelques instants, s'embrassaient. Pierre ne ramollissait pas il était plein de vigueur et d'envie.

Léonor se mit à quatre pattes, Pierre vint derrière elle et introduit lentement son sexe totalement bandé entre ses reins brûlants.. Oh diable c'que cette sensation était agréable ! Léonor se sentait pleine de son aimé, toute à lui, complètement possédée par lui.. Il agrippa ses fesses, elle ondulait du bassin, il alla fort en elle. Il savait qu'elle aimait qu'on la prenne bestialement et ce soir il voulait la combler. Il donna de grands accoups, elle se cramponnait au lit pour ne pas hurler son plaisir. C'est dans un concert de râles, de "hum", d' "encore", de "t'aimes ça" et autres bruits de jouissance que Léonor explosa pour la énième fois. Pierre continua à la besogner, elle tremblante, à sa merci.. Elle aurait voulu que ça dure toute la nuit. Mais Pierre était à son tour au bord de la jouissance, il se retira d'elle et jouit sur sa croupe, sa peau de nacre recevant le lait d'amour.

Cette nuit là Léonor et Pierre refirent l'amour plusieurs fois et jouirent encore et encore dans le plus grand amour qu'il soit. Une nuit d'amour intense.
L'éducation de Léonor continua. A ce jour elle est une soumise comblée et éperdument amoureuse de son mari et Maitre. Lui, entièrement satisfait et fier de sa soumise. Ce couple hors du comment voyait devant lui une belle route au pays du SM..
Qui sait ? Peut-être aurez vous le privilège de connaitre quelques unes de leurs aventures..

Par er0tisme - Publié dans : Textes et Récits d'er0tisme
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 4 novembre 7 04 /11 /Nov 00:20

Chapitre 1

 

Gabriel travaillait chez Monsieur D. depuis bientôt six mois, il voyait souvent sa fille trainer dans le jardin. Les beaux jours arrivant, ses tenues se faisaient de plus en plus légères et ce n’était pas pour déplaire à l’employé.

Gabriel, la petite trentaine, châtain aux yeux noisette, était décorateur d’intérieur pour le compte de Patrick D., brillant membre de la profession. Par chance l’entreprise était basée chez ce dernier et Gabriel y possédait un bureau avec une grande baie vitrée donnant sur le jardin de la grande demeure. Il pouvait donc observer la jeune fille évoluer dans son jardin.

Lise, à peine vingt ans, avait toujours été habituée au luxe. Jeune fille charmante, blonde aux yeux clairs, de taille moyenne et d’une taille élancée, avait l’apparence des petites filles sages. A en croire son père, elle l’était, rien, dans sa vie, ne faisait un pli. Ses tenues étaient toujours impeccables, pas une tâche, pas un pli, sans défaut de goût ; elle avait obtenu son bac avec mention, était douée pour les langues, la musique, elle pratiquait le piano et la flûte depuis son plus jeune âge et était désormais engagée dans des études de journalisme. Ses parents l’avaient élevée avec des valeurs chrétiennes, aussi avait-elle décidée de rester vierge jusqu’au jour de son mariage. Et bien qu’on ne lui connaissait pour l’heure aucun petit ami, ses parents lui avaient déjà trouvé un prétendant : Julien. Vingt cinq ans, fils du meilleur ami de Patrick, il connaissait Lise depuis son plus jeune âge. Ils avaient tout simplement grandi ensemble, dans les mêmes valeurs et avec les mêmes principes. De plus, Julien, serait sans doute le successeur de Patrick à la tête de l’entreprise de décoration.

Gabriel pensait que Julien n’était qu’un petit blanc-bec boutonneux prétentieux né avec une cuillère d’argent dans la bouche. Tout lui avait été toujours donné, il n’avait aucune personnalité ni aucun charisme. A vrai dire, il ne pouvait supporter le jeune homme. Ils n’aimaient pas ces jeunes fraichement débarqués de leurs études, de leurs vies de luxe chez papa-maman et à qui la vie offrait tout. Sans doute était-ce un peu de jalousie qui orientait ses pensées. Depuis qu’il avait intégré le bureau, il observait la jeune Lise. Son air candide et naïf l’attirait, il avait toujours aimé initier les jeunes filles aux plaisirs qu’il aimait à pratiquer, et elle, avait tout de la candidate parfaite. Il aurait tout donné pour déniaiser cette petite bourgeoise coincée.

Cette après-midi là, baignée par le soleil, Lise s’adonnait à sa passion : les fleurs, les plantes et le jardinage. Elle avait toujours aimé la nature et depuis qu’elle était enfant possédait un coin de jardin rien qu’à elle où elle faisait pousser ce que bon lui semblait, tantôt des fleurs, tantôt des légumes, tantôt des plantes. Aujourd’hui elle s’occupait des petits rosiers qu’elle venait d’acquérir. Elle portait une robe légère à fines bretelles en coton pourpre qui mettait assez bien en valeur ses formes généreuses et ses longues jambes. A genou sur son lopin de terre, Lise creusait de ses fines mains afin de planter ses fleurs. Elle ne pouvait se douter qu’on l’observait et que de son mirador, Gabriel, avait une vue imprenable sur sa croupe gesticulant et que le vent dévoilait furtivement de temps à autre. Il décida de sortir pour voir de plus près la jeune fille. Il feint alors le besoin d’un document oublié dans sa voiture.

- Bonjour Monsieur, dit poliment Lise.

- Bonjour, lui répondit Gabriel d’un ton sévère et distant.

Lise se sentait toujours bizarre en voyant Gabriel, il avait ce je ne sais quoi qui méritait le respect, il respirait la sévérité, le charisme et pour ne rien gâcher, il était des plus charmant. Gabriel remarqua que la jeune fille s’empourprait lorsqu’il passait ou qu’ils se parlaient. Il récupéra un dossier dans son auto et reprit le chemin du bureau. Il s’arrêta à la hauteur de la jeune fille.

- C’est un beau jardin, un résultat mérité au vu des nombreuses heures que vous y passez.

- M..merci Monsieur, répondit-elle en rougissant.

- On sent que vous aimez obéir aux exigences de la nature, insista-t-il.

Elle acquiesça en rougissant de plus belle. Gabriel la regardait, elle agenouillée au sol, de son air froid. Il sentait qu’il la troublait et reparti content à son bureau. Il avait assis sa position face à elle et comptait bien continuer dans cette voie. Plus tard dans l’après-midi, Madame D. envoya sa fille dans les bureaux de l’entreprise prendre la "commande" des rafraichissements de l’après-midi. Julien profita de l’occasion pour jouer le coup quotidien de drague malhabile. Lise en était plus gênée que touchée, elle lui adressa un sourire complaisant et passa aux autres employés avant d’arriver à Gabriel qui ne leva pas le nez de son travail à son arrivée.

- M..monsieur Gabriel ? bredouilla-t-elle.

- Oui ? dit-il sans lever les yeux.

- Excusez-moi de vous déranger, ma mère voudrait savoir si vous voulez boire quelque chose ?

- Ah, c’est vous qui jouait la soubrette aujourd’hui ?

Il employait volontairement ce langage car il sentait qu’il ne la laisserait pas indifférente.

- P..Pardon ? Elle avait viré au cramoisi.

- Apporte-moi un café avec deux sucres.

Elle baissa les yeux et reparti. Un quart d’heure plus tard, la jeune fille réapparut la tasse à la main. Elle contourna le bureau pour déposer la boisson sur un coin dégagé. Elle se faisait aussi discrète que possible afin de ne pas déranger Gabriel qui simulait l’indifférence. Quand elle fut à côté de lui, qu’elle disposait le nécessaire, il passait discrètement une main sous sa robe. La jeune fille devint tellement rouge qu’on aurait pu la confondre avec une tomate, mais elle n’osa bouger.

- Mais que faites-vous ? Balbutia-t-elle.

- Chut, je sais que tu n’attends que ça, lui répondit-il en la caressant au travers de sa culotte.

Lise se mordillait à présent la lèvre inférieure.

- Je vous en prie.

- Tais-toi, ordonna-t-il. Je te fais de l’effet et tout ton corps appelle les hommes, ne le nie pas.

Elle ne dit rien.

- Passe sous le bureau, dépêche-toi, ordonna-t-il de sa voix la plus sévère.

La jeune fille sentait une irrésistible attirance mais elle était tout de même gênée et avait très peur. Malgré tout elle obéit. Une fois sous le bureau elle découvrit le sexe de l’homme qui commençait déjà à durcir. D’une main, il saisi la tête de la jeune fille et la colla sur son entrejambe. Il frotta son sexe sur le visage de Lise qui avait tellement honte de ce qu’elle faisait mais qui ressentait tout de même du désir pour cette figure sévère qu’il représentait. Il posa son membre sur sa bouche.

- Ouvre, se contenta-t-il de dire.

Ce qu’elle fit machinalement. Il enfourna alors le sexe dans l’ouverture de la jeune fille avant, de sa main empoignant ses cheveux, de le faire aller et venir. Lise sentait son intimité s’humidifier peu à peu quand elle entendit la porte du bureau. Gabriel bloqua son sexe au fond de la gorge de la petite bourgeoise.

- Gabriel, Monsieur Corletti vient de nous envoyer les plans de la bâtisse que l’on doit retravailler, dit Patrick D, le père de Lise qui, reconnaissant la voix se crispa sous le bureau. Je vous les laisse pour que vous les étudiiez.

- Très bien Patrick, je vois ça dès que j’ai terminé avec les croquis de la villa Marese, répondit-il le plus calmement du monde.

Discrètement il fit bouger la tête de la jeune fille paniquée sur son sexe.

- Bien, faites moi une note quand vous les aurez consultés.

Patrick quitta le bureau et quand la porte se referma, Lise tenta de se dégager.

- Tu n’as pas terminé ! Lui dit-il en maintenant fermement son étreinte et en la faisant aller et venir de plus belle. Il agit ainsi jusqu’à ce qu’il lui éjacule dans la bouche.

- N’avale pas, fais aller et venir la semence sur ta langue. Imprègne-toi de ce goût qui va te devenir familier.

Il la laissa ressortir de sous le bureau, lui ordonna alors d’avaler, vérifia que sa bouche était vide et lui ordonna de partir.

 

Chapitre II

Ce soir là, dans son lit, Lise repensa à cette expérience bien loin de sa petite vie tranquille. Sans même s’en rendre compte, ses doigts avaient investi sa culotte et elle caressait sa fourrure machinalement. Un doigt pénétra les lèvres protectrices, les caressa avant de s’attelait au petit bouton de plaisir. Lise avait souvent fantasmé de moments de soumission comme aujourd’hui mais elle ne pensait jamais les vivre. Peu à peu, elle ferma les yeux, entrouvrit les lèvres et glissa vers un plaisir qu’elle se donnait elle-même en pensant aux doigts de Gabriel la tripotant, fouillant son sexe à la merci, à son père qui aurait pu la surprendre faisant la putain sous le bureau d’un employé, à ce lait épais et chaud qui avait prit possession de sa bouche et glissé lentement dans sa gorge. Et Lise jouit avant de plonger dans des rêves de sexe, d’obéissance, de Gabriel.

Le lendemain matin, elle avait honte de ce qu’il s’était passé, qu’allait-on penser d’elle si ça se savait ? Ce jour-là elle n’osa pas aller au jardin, le lendemain non plus d’ailleurs. Après trois jours de cache-cache, alors qu’elle étudiait dans chambre, on ouvrit la porte. Gabriel avait réussi à se faufiler dans la pièce de la jeune fille.

- Mais que faites-vous là ? Demanda Lise surprise.

- A ton avis ?

- Allez-vous-en ! On ne doit pas continuer à faire ça, c’est mal ! Tenta-t-elle.

Gabriel s’approchait peu à peu d’elle, la poussant dans ses retranchements.

- Que vas-tu faire ? Obéir à cette morale stupide qui t’enferme dans une vie monotone et sans passion ou m’obéir à moi et te laisser porter par le plaisir, la luxure et l’imprévu ? Lui répondit-il de son ton arrogant.

- Je vais en parler à mon père si vous continuez ! Se défendit-elle.

- Fais donc, tu scelleras ton choix. Parle de notre aventure et tu ne me reverras jamais, tais-toi et tu consens à m’appartenir et m’obéir. Je te laisse exactement trois jours, si dans trois jours ton père ne me dis rien, ne me renvoi pas alors je saurais que tu as choisis ma voie. A bientôt jeune chienne.

Sur ces paroles, Gabriel repartit comme il était venu, laissant la jeune fille dans le doute et le dilemme. Que fallait-il ? Se laisser faire et s’abandonner à ce plaisir charnel dont elle rêvait si souvent en secret ou bien rester dans le chemin tracé par ses parents ?

Ces trois jours furent une torture pour Lise qui changea d’avis des centaines de fois. Au matin du troisième jour, Gabriel savait que Lise se donnerait à lui, il l’avait d’ailleurs toujours su. Il savait reconnaitre une soumise vicieuse quand il en voyait et cette gamine là transpirait le vice. Il laissa tout de même passer la journée et quand il allait partir, depuis sa voiture, il envoya un sms à la jeune fille.

« Rejoins-moi ce soir à l’adresse ci-dessous. Je t’y attendrai pour 22h, si tu n’y viens pas, on ne se reverra plus jamais. »

A la réception du message, la jeune fille eu une boule à l’estomac, un mélange de désir et de peur. Comment allait-elle pouvoir sortir discrètement. A 20ans, normalement, il n’y a pas de soucis, mais dans la famille de Lise c’était différent. Elle prit son courage à deux mains et alla trouver sa mère.

- Maman, je dois partir voir Annie, une copine de l’école, elle ne va pas très bien et a besoin de moi pour lui remonter le moral. Je dinerai avec elle.

- Oh ma chérie, c’est si gentil de ta part ! Tu veux que je t’y emmène ?

- Non, merci, maman. Je vais y aller seule, de toute façon je ne sais pas combien de temps je vais y rester, il est possible que j’y dorme.

- N’oublie tout de même pas l’Eglise demain, ma puce. Répondit la mère en embrassant le front de sa fille déjà sur le seuil de la porte.

Lise allait à l’Eglise avec ses parents tous les dimanches matins, sa famille était restée très croyante et non moins pratiquante. La jeune fille n’en revenait pas, elle ne se doutait pas que ce serait aussi facile. Elle se dépêcha de rejoindre sa voiture et se mit en route. Elle avait pris soin de mettre des affaires de rechange dans sa voiture, au cas où. Malgré tout elle hésita en chemin, y aller ? Ou pas ? Elle s’arrêta dans un fast food sur la route pour y réfléchir.

A 22h, Gabriel était fin prêt à recevoir la novice dans un petit hangar désaffecté qu’il avait acheté une bouchée de pain et retransformé en donjon. Quinze minutes plus tard, il entendit une voiture se garer sur le parking de l’immeuble.

Lise, n’éteignit pas de suite le moteur, elle profitait de ses phares pour regarder la bâtisse et les alentours. Elle n’était pas rassurée, ça avait un je ne sais quoi de glauque. Elle se décida tout de même à sortir du véhicule et à entrer. Elle poussa timidement la lourde porte en fer et pénétra dans une pièce sombre.

- Avance-toi jusqu’à la porte et ne te retourne sous aucun prétexte. Entendit-elle.

A taton, Lise avança jusqu’à ce qui semblait être une porte. Elle entendit quelqu’un arriver derrière elle, elle voulu se retourner mais repensa à l’ordre. De toute façon elle était bien trop impressionnée pour faire quel mouvement que ce soit. Elle sentit un tissu passer sur son front puis glisser sur ses yeux. Gabriel noua le bandeau fermement aveuglant la jeune fille qui s’en trouva que plus impressionnée.

- Tu vas te laisser faire, fais moi confiance, tu vas aimer. Lui dit-il au creux de l’oreille.

Il lui passa un de ces colliers de cuir avec un anneau de fer blanc autour du coup avant de lui ôter le string rose qu’elle portait sous une jupe courte noire, son caraco et son soutien-gorge. Pour finir, il fit glisser très lentement la jupe sur ses fesses pour exciter les capteurs sensoriels de sa peau de velours. Quand elle fut entièrement nue, il fit courir ses mains sur la poitrine ferme et dardée par le froid et le désir, puis sur les hanches et enfin les fesses de la jeune novices aveuglée et abandonnée. Lise sentie des frissons lui parcourir l’intégralité du corps pour finir leur course dans son clitoris. Elle se sentait s’humidifier et avait honte d’être ainsi à la vue d’un homme. Elle sentit qu’on lui attachait quelque chose autour de la taille. Gabriel lui ordonna ensuite de lever le pied gauche qu’il glissa dans un bas de nylon noir. Il fit de même pour la jambe droite avant de lui enfiler des escarpins à talons aux pieds. Il attacha les bas au porte-jarretelle qu’il avait attaché plus tôt. Enfin il lui dessina la bouche d’un rouge incandescent.

- Parfait ! S’exclama-t-il. Une vraie catin.

Lise rougit. Il attacha une laisse à l’anneau de son collier pour la guide dans la pénombre qui enveloppait la soumise. Elle tendait ses bras pour se repérer. Quand il se retourna, il vit les mouvements d’Lise pour se repérer.

- Que ces grands gestes sont disgracieux !

Il entrava les poignets de la jeune fille avec des menottes de cuir qu’il attacha entres elles. Lise était complètement désorientée, elle avait du mal à marcher avec ces chaussures et n’avait rien pour se retenir en cas de chute ni pour se repérer pour en éviter une éventuelle.

- Dorénavant, je t’appellerais Dolly. Tu seras la chienne Dolly. Obéissante et respectueuse envers son Maître. Avance Dolly !

Et la nouvellement baptisée Dolly avança guidée par Gabriel.

Ils se trouvaient maintenant en plein cœur du donjon et elle fut assise sur une table froide, en métal, Gaby attacha ses bras à un anneau au plafond. Il la contempla un moment avant de s’approcher d’elle. Il caressa sa croupe, lui fit remonter les jambes sur le bord de la table avant de les entraver à leur tour. Il les plaça dans les étriers de la table et y attacha les anneaux des entraves. Dolly était désormais allongée sur la table, son intimité dévoilée, grande ouverte. Gabriel passa deux doigts sur son clitoris gonflé par le désir, il le tapota avant de glisser sur ses lèvres trempées. Il humecta bien ses doigts des sucs de la jeune fille avant d’aller étaler le liquide sur son anus. Lise avait la chair de poule et se sentait humiliée qu’on la voit ainsi et qu’on touche à cette partie de son anatomie. Doucement l’homme introduit un doigt dans l’anus vierge de toute pénétration. Il le fit coulisser lentement pour ne pas lui faire mal et pour bien lubrifier l’orifice. Il allait de plus en plus vite quand il introduit un deuxième doigt. Dolly commençait à haleter. Elle n’avait jamais songé que des caresses anales lui procureraient autant de plaisir. Son ventre soumis à ses brèves respirations, se soulevait et se baisser en rythme. Gabriel l’enculait de ses doigts et elle adorait ça. Il sorti les doigts de son petit trou quand il la sentit dans un grand état d’excitation, il les frotta sur la bouche et lui ordonna de les lécher. Dolly hésita puis obéit. Il fit pénétrer ses doigts souillés du lubrifiant de Lise au fond de sa bouche, les essuyant sur sa langue. Il décida alors de la dépuceler. Il attrapa un gode fin, le lubrifia sur les lèvres de la jeune fille qui appréhendait ce moment. Tout doucement il l’enfonça dans la grotte de celle-ci, brisant l’hymen. Lise réprima un petit cri. Il l’entra finalement entièrement avant de le faire ressortir puis ré-entrer. Il essuya le mince filet de sang puis entreprit de faire jouir la jeune fille en guise de récompense. Il caressa énergiquement le clitoris de Sa chienne, le prit entre ses lèvres, le lécha, le suça et ce jusqu’à ce qu’elle jouisse. Il lui laissa alors quelques instants pour se reposer et se remettre de ses premières émotions.

A suivre......

Par er0tisme - Publié dans : Textes et Récits d'er0tisme
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus