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Samedi 3 novembre 6 03 /11 /Nov 23:15
Chapitre I


Voilà 3 mois que Léonor et Pierre, son mari, avaient fait leur "coming out" sm.. Tout se passait désormais pour le mieux dans leur vie de couple, c'était comme une renaissance de leur vie sexuelle.. Pierre n'avait jamais osé avouer à son aimée ses penchants pour la domination et elle qu'elle s'ennuyait au lit.. Aujourd'hui tout était rentré dans l'ordre..

Ce matin Léonor s'était levée quelques heures après son Mari et désormais Maître.. Elle avait eu le plaisir de trouver un petit mot à côté de son oreiller.. Elle décacheta l'enveloppe et pu lire :

"Bonjour Amour..

Ce soir nous sortons, j'ai préparé ta tenue dans le dressing.
Tu sais comment te préparer, comme je t'aime.
Sois prête pour 20h et ne sois pas en retard !

Je t'aime, bonne journée."


Elle eu un petit sourire et se leva.. Elle passa la journée à se prélasser.. Bronzer un peu au bord de sa piscine.. Prendre un long bain moussant parfumé à la noix de coco.. Vint rapidement l'heure de se préparer.. Elle s'habilla des vêtements préparés par son mari.. Un ensemble de sous vêtements en soie rose bébé renforcé de rubans noirs.. Un porte jarretelles assorti ainsi que de brillants bas noirs.. Une robe de soirée magnifique, noire, laissant sa poitrine généreuse bien en valeur, fendue des deux côtés jusqu'au milieu des cuisses et arrivant juste au dessous des genoux..
Elle ajouta au tout un somptueux collier de perles blanches, des boucles d'oreilles et le bracelet assorti, puis jeta un dernier regard dans le miroir.. Elle était tout simplement fabuleuse..
Ses longs cheveux châtains étaient remontés en un chignon savamment négligé, sa peau de nacre contrastait à merveille avec le tissus de cette robe.. Tout était parfait.
Pile à l'heure ! L'on sonna à la porte.. C'était un homme habillé d'un uniforme de chauffeur..

- Bonsoir Madame, votre mari m'a chargé de vous conduire à votre lieu de rendez vous. Veuillez me suivre s'il vous plait.

Ce qu'elle fit volontiers.. Elle grimpa alors dans une grosse berline noire. A l'intérieur des sièges en cuir blanc l'attendaient ainsi qu'une enveloppe..

"Amour,

Ôte ici ta culotte, dépose la dans l'enveloppe que tu me remettra dès que nous nous verrons.
Sois bien sage avec Romuald."


Léonor rougit. Se déshabiller devant le chauffeur, tout de même.. Elle était très gênée mais elle devait obéir.. Elle choisi un moment où elle cru qu'il ne regardait pas dans le rétro et essaya le plus discrètement possible de retirer son dessous.. Manque de chance l'homme remarqua le manège et lança :

- Besoin d'un coup de main Madame ?

Sans attendre la réponse il s'enfila sur une aire de repos à cette heure désertique et sombre.. il se gara derrière d'un arbuste touffu descendit et ouvrit la porte à la jeune femme en lui ordonnant de descendre.. Elle se hasarda à répondre :

- J'ai rendez-vous, je ne dois pas être en retard..
- Ne vous en faites pas, votre mari m'a dit d'être au lieu de rendez vous pour 21h30, nous avons largement le temps qu'il faut. Répondit il avec un sourire charmeur.

Léonor songea à la dernière phrase du message.. "Sois bien sage avec Romuald".. Ajoutons à ça le fait qu'elle n'ait rendez vous qu'à 21h30, ce devait sans doute être une épreuve qu'il lui faisait passer. Elle devait se montrer docile avec cet homme. Il n'était pas si mal après tout ! Plutôt grand, de grands yeux noisettes et de courts cheveux bruns.. Il y avait pire..


Chapitre II

Elle descendit alors de la voiture pour rejoindre l'homme..

- Je les connais bien les filles de ton genre.. Les couples de votre genre..

Que voulait-il dire ? Était-ce un habitué du milieu sm ? Sans doute.. Elle ne dit mot et se laissa faire. Il l'entraîna alors contre le capot encore chaud de la voiture.. Elle s'allongea face à celui ci et lui, lui remonta la robe sur les reins..

- Tu as un bon cul.. Tu dois être une vicieuse on le sent que t'aimes le sexe..

Il déboutonna son pantalon, passant son gros membre à demi bandé contre le sexe de Léonor, la caressant ainsi quelques secondes.. Il la retourna et la fit mettre à genoux devant lui.. Son sexe tendu devant son visage. Machinalement elle ouvrit la bouche pour le recevoir..

- Non, ma belle, pas encore.. Pour une fois que je peux me taper une bourge dans ton genre je vais pas précipiter les choses !

Il claqua doucement sa bite contre le visage de la jeune femme.. Lui passant sous lui nez, sur les joues.. Partout sur son visage.

- Lèche ! Dit il en lui montrant ses deux grosses prunes.

Peu assurée Léonor lapa timidement les bourses de Romuald qui lui enfourna alors dans la bouche.. 

- Allez suce les bien ! Montre moi comme tu es une belle salope.. Tu ne voudrais pas me décevoir tout de même ?

Oh que non elle ne le voulait pas ! Décevoir le chauffeur serait faillir à son devoir de soumise et donc décevoir Pierre. Elle s'appliqua alors à les lécher, les sucer, les aspirer.. Romuald poussait de petits grognements puis se retira pour lui présenter son gros braquemart.. Elle le prit en main, le branlant en même temps qu'elle léchait le gland d'où s'écoulait quelques gouttes de nectar.. Puis elle lécha le membre sur toute sa longueur.. De la base jusqu'au gland, aucune parcelle de chair ne lui échappait.. Elle le fourra dans sa bouche et entama alors de lents va et viens.. Lents mais profonds.. Romu' attrapa Léonor par les cheveux et lui donna l'allure.. De rapides et plus que profondes caresses.. Elle manqua plusieurs fois de suffoquer pendant qu'il râlait de plaisir.. Soudain il stoppa.

- Allez, sur le capo dépêche toi..

Elle s'allongea, il lui écarta les jambes et s'introduit sans ménagement en elle. Elle pensait à Pierre.. Le corps de pierre sur elle, lui en elle.. Comme ça elle n'avait pas l'impression de le tromper. Romuald la besogner violemment, donnant de puissants coups de boutoir..

- Ah salope c'que c'est bon ! T'aimes ça te faire prendre espèce de chienne !

Il s'excitait sur elle, se débattant en elle.. Frappant sur sa matrice, elle, gémissant doucement, s'approchant peu à peu du plaisir.. Il ralentit puis réaccelera.. Elle s'agrippait au capo, poussant maintenant de plus intense gémissement..

- Je.. Je vais.. jouir.. Dit-elle

Il stoppa alors brutalement, la faisant descendre du capo et la remettant à genoux.

- J't'ai pas permis de jouir sale bourge. Suce !

Étonnée et frustrée Léonor reprit le sexe de Romuald en bouche.. Lui, reprit ses puissants va et viens et quand il jouit il serra la tête de Léo' contre lui afin qu'elle avale toute sa liqueur. Quand elle eut dégluti et avalé la totalité de son lait d'amour il relâcha son étreinte. Elle réajusta sa robe et s'essuya la bouche.

- Allez, en voiture.. Ou vous allez être en retard sinon.

Le reste du voyage se déroula sans bruit, sans parole. Lui concentré sur la route, elle un peu hagarde assise sur la banquette arrière.. Elle n'en revenait pas de ce qu'elle venait de faire. Un quart d'heure plus tard la voiture arriva devant un club. 


Chapitre III

Le Pacha.. Ça avait l'air bien, classe, select même.. Romuald lui ouvrit la porte et elle descendit.. Il claqua la porte derrière , lui fit un clin d'oeil et lui lança un "bonne soirée" avant de repartir. Léonor entra en indiquant qu'elle était attendue à l'intérieur. On la conduisit à la table de Pierre qui l'embrassa délicatement et elle lui remit l'enveloppe avec son dessous..

- Tu es en retard.

Léonor regarda l'heure de son portable.. 21h20..

- Mais non je suis en avance tu as dit 21h30 au chauffeur..
- Vous.. répliqua t il sèchement.. Je lui ai dit de te conduire immédiatement et que j'arriverais vers 21h30.. Qu'avez vous fait tout ce temps ?
- Mais je croyais que c'était encore une épreuve.. Il a dit que.. Enfin t'avais marqué que je devais être sage avec lui.. Et il m'a..
- Peu importe. La coupa t il. Ce qui est fait est fait. J'espère que tu as pris ton pied. Bref. Nous allons dîner.. Avant j'ai quelque chose pour toi.

Il lui tend une boite rouge bordeaux.. Elle le remercia et ouvre le paquet. A première vue c'était une belle culotte noire.. Pourquoi diable lui offrait il une culotte en plein restaurant ? Elle ne pouvait la défaire du paquet devant tout le monde..

- Prend le paquet va aux toilettes et mets ton cadeau..

Léonor se leva tranquillement et se dirigea vers les toilettes.. A l'intérieur de la cabine elle pu découvrir totalement son cadeau.. C'était en fait une culotte mais elle avait quelque chose de spécial.. Comme une petite bosse en caoutchouc à l'entre jambe.. Elle enfila cette culotte.. La bosse se trouvait pile poil sur son clitoris.. A quoi ça pouvait donc servir ? Léonor reparti à sa table.. En marchant elle s'aperçut que la bosse lui procurait des sensations, elle frottait agréablement contre son petit bouton à plaisir.. Heureusement qu'elle n'avait que quelque pas à faire.. Elle se rassied et fait un clin d'oeil à son mari.. L'on vient servir deux coupes de champagne en guise d'apéritif.. Léonor sourit au serveur qui s'en allait et commença à tremper ses lèvres dans sa coupe quand soudain elle sentit quelque chose vibrer entre ses jambes lui provoquant de terribles vagues de plaisir ! Voilà donc à quoi servait cet instrument ! En la voyant soudainement s'agiter sur sa chaise Pierre eut un grand sourire qui s'afficha sur ses lèvres. Les vibrations cessèrent et Pierre lui montra une télécommande. Il s'avança vers elle et lui dit.

- Je peux contrôler ta jouissance à distance avec ça.. A toi de savoir te contenir

Léo' sentait que l'instrument de plaisir allait se révéler être un instrument de torture. Elle rougissait déjà à l'idée qu'il soit activé devant tout le monde. Allait-elle savoir se maîtriser ?
Le dîner continua de manière très agréable.. Ils parlèrent ensemble de choses et d'autres. Ils abordèrent la question d'un bébé, du futur, des choses habituelles à un couple quoi.. Arriva le moment de commander les desserts.. Le serveur attendait de noter le choix de Monsieur.. Puis vint à Madame de parler.. Au moment même où elle ouvrit la bouche Pierre mit en route le vibromasseur.. Léonor devint toute rouge et bégaya sa commande..

- Vous êtes sur que vous allez bien Madame ? Demanda le jeune serveur l'air inquiet.
- Oui, chérie, tu vas bien ? Ajouta Pierre d'un ton moqueur.
- Im.. Im..pe..ccable.. répondit elle.

Elle réussi enfin à lacher sa commande et le serveur prit la route des cuisines.. Pierre, lui, cessa l'action de la culotte magique. Il la regardait en souriant, elle lui lança un regard noir.

- Faudra bien t'habituer ma douce. Dit il d'un ton rieur mais sévère.

Le café arriva enfin et l'heure de repartir.. Il déposa le manteau de la belle sur ses épaules, lui prit la main et la conduisit à la voiture..

- Rentrons maintenant, j'ai mille et une chose à te faire découvrir.


Chapitre IV

Le trajet se passa tranquillement..
La voiture pénétra dans le garage qui se referma sur les deux jeunes gens.. Aussitôt sortis de la voiture, Pierre demanda à Léo' de passer son collier de soumise.. Il le lui avait offert après son initiation.. Un somptueux collier de cuir noir avec un anneau argenté brillant comme une étoile. Elle devait le mettre à chaque fois qu'ils étaient chez eux.. C'est ce qu'elle fit ce soir.. Il sorti alors une laisse argentée tout aussi brillante et l'attacha au collier afin de mener Léonor où il le désirait.. Ce soir ce serait dans son petit atelier qu'il avait aménagé en donjon de fortune.. Si tôt entrés dans la pièce il lui ordonne de se dévetir entièrement sauf porte-jarretelles et bas. Une fois nue il lui sorti sa laisse et l'attacha au plafond par les mains.. Il la leva afin que seul le bout de ses gros orteils touchent le sol, autant dire que c'était une position inconfortable et quelque peu douloureuse. Mais Léonor aimait que son Maître l'attache, elle aimait qu'il la possède et fasse ce qu'il voulait d'elle.. Elle aimait être à lui. Elle supportait donc la pose.. Pierre alla chercher deux godes, un moyen et un normal.. Il plaça le plus petit dans l'anus de sa soumise et l'autre dans son vagin.. Léonor avait maintenant pris l'habitude qu'on la sodomise et même qu'on la pénètre doublement, elle appréciait même grandement ces deux pratiques.. Il lui renfila alors sa culotte magique, lui banda les yeux, la baillonna, éteint la lumière, ferma la porte et s'en alla regarder la télévision. Il la laissa ainsi plusieurs longues minutes quand il activa les vibrations de la culottes.. Aussitôt Léonor se mit à gigotter.. Le plaisir montait en elle, elle le sentait courir et mordre son ventre.. Chatouiller ses entrailles.. Diantre c'qu'elle aimait cette sensation.. Elle avait toujours aimé ça les plaisirs de la chair, jouir, les orgasmes, toutes ces sensations qui faisaient qu'elle se sentait si bien.. En quelques minutes elle jouit d'un puissant orgasme.. Les vibrations titillaient son clito, ses gigotements faisaient bouger les phallus synthétiques en elle.. . Elle tremblait de plaisir, dans les vaps quelques secondes.. Un autre orgasme la frappa alors de plein fouet.. Les vibrations ne s'arrêtait pas et elle jouissait encore et encore.. Le plaisir se transformant peu à peu en torture.. Ça ne s'arrêtait pas, elle avait mal aux bras, son clitoris la démangeait.. Elle aurait voulu hurler de plaisir, de douleur, de jouissance, de mal être mais elle ne pouvait pas, ce foutu bailla réprimait tous ces cris, gémissements et autres bruits.. Elle mouillait tant que son nectar coulait abondamment sur ses cuisses Elle ne savait plus quelle heure il était ni combien de temps ça faisait qu'elle était comme ça.. Elle n'était même plus sure de savoir où elle était et qui elle était, elle semblait complètement déboussolée, toutes ces émotions, ses sensations se mélangeant en elle.. C'était bon, ça faisant mal, c'était délicieux, ça lui brûlait le ventre, elle voulait pleurer, continuer à jouir sans retenue, que ça s'arrête.. Les godes lui fouillaient les entrailles.. Oh dieu que c'était bon.. Elle ne savait plus ce qu'elle voulait, que ça dure encore et encore, que ça s'arrête.. Elle ne savait plus rien.. Elle n'était plus que tremblement et jouissances.. Elle avait l'impression que ça faisait des heures qu'elle était comme ça.. Elle était au bord de l'évanouissement quand Pierre vint la libérer.. Il arrêta la culotte, la lui sorti, lui enleva les godes et enfin la détacha. Léonor lui tomba littéralement dans les bras.. Elle était à demie consciente, ses jambes tellement en coton qu'elle ne pouvait plus se tenir.. Il l'embrassa, lui caressa les cheveux et la porta jusque dans leur lit.. Il l'allongea et la borda, enfin il alla s'asseoir dans un fauteuil à côté d'elle et la regarda dormir ainsi durant quelques heures avant de s'endormir à son tour..


Chapitre V

Le lendemain matin Pierre se réveilla le premier, légèrement engourdi par la nuit dans le fauteuil.. Léonor, elle, dormait encore à poing fermé.. Il l'attendit alors dans le salon, devant la télé et une bonne tasse de café.. Elle se leva une quinzaine de minutes plus tard.. Ses jambes lui semblaient en coton.. Elle avait des courbatures partout..

- Ah tu es enfin levée !
- Bonjour Maître. Répondit Léonor en se mettant à genoux, la tête baissée devant son maître.
- Hier soir je t'ai punie pour t'être donnée à Romuald sans mon consentement. Comme ce n'est qu'à moitié de ta faute j'ai pensé que c'était la meilleure punition qu'il soit.. Plaisir transformé en douleur..
- Merci Maître.

Il la releva et l'embrassa tendrement.. Aujourd'hui c'était samedi, il n'avait pas à travailler, il avait décidé qu'ils iraient faire du shopping..

Aujourd'hui elle devait porter une robe rouge tout à fait fluide et légère qui lui arrivait à mi cuisses. Elle n'avait pas l'autorisation de porter de sous-vêtement ce qui n'était en soi pas un mal pour le haut mais pour le bas c'était une autre histoire.. Pierre savait que l'on ne voyait rien, mais Léo' elle se sentait nue.. C'était de ce malaise là qu'il souhaitait jouer..
Première étape : Une jolie petite boutique de chaussures. Elle devait acheter une paire d'escarpins à très hauts talons. Le plus dur aller être de s'asseoir pour essayer les chaussures sans que personne ne voit son intimité.. Tant bien que mal Léonor réussit à garder cette partie d'elle cachée.. Elle était très mal à l'aise mais cette situation l'excitait.. Ce qui renforçait son mal être puisqu'elle avait l'impression que son sexe coulait d'excitation.. Il n'en était rien.
Lorsqu'elle marchait dans la rue, elle pensait que tout le monde voyait qu'elle ne portait rien, qu'elle était excitée.. Comment pourrait-elle justifier ceci ? Elle sentait ses joues s'empourprer..
La seconde étape arriva. Un magasin de vêtements bondé ! Du monde partout.. Quelle gène pour Léo' ! Pierre lui choisit quelques vêtements assez sexy pour ne pas dire vulgaires.. Elle essayait de les rouler autour de son bras afin que personne ne puisse distinguer ce qu'elle aller essayer.. Ce serait déjà bien assez embarrassant à la caisse lorsque la vendeuse dépliera les habits pour passer les codes barres ! Elle fila dans une cabine qui venait de se libérer, Pierre prit soin de fermer le rideau.. Il laissa quelque centimètre d'écart de chaque côté des cloisons.. Léonor pensait que tout le monde pouvait la voir, en réalité seule la personne qui sortirait de la cabine à côté aurait ce privilège.. Une vendeuse passa alors tout près de là, voyant Pierre attendre elle lui demanda si les essayages allaient bien.. Il lui suggéra de remporter les vêtements qui ne convenaient pas.. La vendeuse passa la tête dans la cabine pour les récupérer, elle pu constater que Léonor n'avait pas de dessous.. Elle la toisa d'un air hautain en prenant les dits vêtements.. Léonor était alors rouge comme une pivoine.. Elle se hâta de terminer, ils passèrent à la caisse..
Troisième magasin.. De vêtements toujours.. Une grande enseigne peu peuplée.. Il lui choisit ici aussi tout un tas de vêtements à essayer.. Au moment de passer en cabine il entra avec elle. Il lui chuchota à l'oreille qu'ils allaient faire un jeu et qu'elle allait devoir être sage.. Il lui banda les yeux et l'attacha à la barre qui servait de porte manteau puis il sorti de la cabine la laissant ainsi plus d'un quart d'heure.. Léonor était terriblement gênée, n'importe qui pourrait rentrer et la trouver ainsi.. Quelle honte !



Chapitre VI

Léonor était attachée dans cette cabine depuis maintenant 20 minutes.. Elle avait des noeuds dans le ventre de peur qu'on la voit.. Soudain elle entendit le rideau coulisser légèrement.. Elle chuchota..

- Pierre ? C'est Vous ?

Aucune réponse.. Elle ne reconnaissait pas l'odeur de son mari.. Ça sentait poivré.. Non, Pierre ne mettait pas ce genre de parfum.. Léonor commença à gigoter pour essayer de se libérer quand elle sentit une main se poser sur son sexe.. Elle ne savait que faire.. Devait elle se laisser faire pour ne pas alerter les gens et qu'on la voit ainsi ? Devait-elle appeler à l'aide ? Mais bon sang quelle foutue idée Pierre avait eu ! Plus insistante la main s'insinuait en ses chairs, la fouillant maintenant.. Indélicate main. Pendant que deux doigts pénétraient en elle le pouce remuait sur son clito.. Rapidement, sans délicatesse.. Mais ces caresses si brutales qu'elles soient ne laissaient pas notre chère Léo' indifférente.. Elle commençait à mouiller, à gémir et haleter.. Elle se rappela qu'elle ne pouvait se permettre le moindre bruit.. La torture commença.. Elle se mordait les lèvres, serrait les dents pour être certaine de n'émettre aucun bruit.. Et on continuait à la caresser encore et encore quand on la cambra autant que l'on pouvait tirant sur ses bras entravés.. Le bruit d'une braguette et elle senti un bâton de chair entrer en elle.. Et l'on commença à se mouvoir dans son ventre en donnant des coups secs et profonds. Et son excitation coulait sur les Cuisses de la jeune femme. Oh diable c'qu'elle aimait se faire baiser. Elle aurait voulu qu'on la baillonne pour être certaine qu'elle ne ferait pas trop de bruit mais rien.. Elle se mordait les lèvres et les joues, fermait fort les yeux, serrait les dents de toutes ses forces.. Qu'il n'était pas aisé de se retenir ! Et si Pierre revenait ? Si il la voyait en train de prendre du plaisir avec un autre ? Un inconnu qui plus est ! Elle était un belle salope ! Jouir avec n'importe qui ! Et l'on continuait à la besogner fort, intensément, cognant sur sa matrice à chaque coup, lui déchirant un peu plus les entrailles d'un plaisir qu'elle ne pouvait exprimer.
Puis l'on se retira d'elle pour mieux y revenir par les reins.. S'enfonçant lentement, centimètre par centimètre.. Quelle torture ! Léonor n'avait jamais pu résister à une sodomie ! Quand le sexe était entré à fond en elle, il s'immobilisa quelques secondes avant d'entreprendre de virils va et viens. C'en était trop ! Léonor était au bord de l'explosion. Elle entendit soudain la voix de son mari derrière le rideau.

- Léonor, Amour, tu as fini d'essayer ? Je peux entrer voir ce que ça donne ?

Paniquée Léonor commença à se débattre pour que l'homme la lâche, mais rien n'y faisait il continuait à la prendre encore et encore. Elle répondit alors d'une voix mal assurée.

- Euh non, pas encore, j'ai pas fini d'enfiler celle ci..
- Tu es sûre que tu ne veux pas que je t'y aide ? répondit Pierre d'une voix faussement innocente.
- Non, non, ça va aller.

Elle chuchota à l'homme de la laisser que son mari allait entrer. C'est là qu'elle pensa mais comment faire sortir cet homme sans que Pierre ne le voit ?

- Mon chéri pourquoi n'irais tu pas me chercher la robe jaune dans la taille au dessous s'il te plait ?
- Mais non, elle sera trop petite. Bon je n'y tiens plus j'entre !

L'on entendit le rideau bouger un peu.

- C'est donc pour ça que tu ne voulais pas que j'entre.. Bravo Léo'. Je te félicite une fois de plus.

L'homme se retira d'elle, la braguette remonta, le rideau bougea. Pierre détacha alors Léonor. Elle le regardais avec des yeux de chien battu et chuchota mille excuses..

- Habille toi et dépêche toi, on rentre.

Dans la voiture le parfum de l'inconnu flottait encore.. Léonor culpabilisait de n'avoir pu se défaire de l'étreinte de ce mâle, d'avoir déçu Pierre. Elle savait qu'elle allait déguster en rentrant. Elle appréhendait un peu. Elle était mêlée entre la crainte et le désir. Elle aimait les punitions, elle n'allait pas s'en cacher. La douce morsure de la cravache. La douceur de la cire d'un bougie sur ses seins. Le sang en ébullition, le ventre qui chatouille et le coeur qui palpite. Ce désir envahissant et cette peur enivrante, cette douleur lancinante et déroutante. C'est pour tout ça qu'elle aimait les punitions. Cette explosion de sentiments et ressentis divers la comblait. Que pouvait être quelques temps de douleur lorsqu'ils s'opposaient à ce divin nectar d'émotions ?! Elle se prenait alors à rêver de mille et une punitions.




Chapitre VII

Arrivée chez eux, Léonor mit son collier sans qu'on lui demande, Pierre ne prit même pas la peine de lui mettre sa laisse, il attrapa l'anneau du collier et l'emmena comme ça dans son atelier. Il l'attacha sur une croix en bois qu'il avait fabriquée lui même. Lui banda les yeux, lui fixa une trentaine de pinces sur tout le corps. Sur ses seins, son ventre, son clito, ses lèvres, ses cuisses. Léonor tentait de se tortiller mais elle était solidement fixée. Qu'allait-il faire ? Le bandeau renforçait le stress de ne pas savoir.. Pierre de son côté attrapa une cravache et commença à viser les pince puis il donna un premier coup qui fit sauter une pince. Léonor poussa un petit cri. C'était donc ça ! Ça allait durer elle le sentait. Pierre donna encore une dizaine de coups faisant sauter 3 ou 4 pinces puis il échangea la cravache contre un martinet et recommença à frapper avec plus ou moins de précisions, faisant de temps à autre s'échapper une pince ou deux. Au bout de 10 minutes et une bonne centaine de coup plus tard toutes les pinces avaient quitté le corps de Léonor qui n'était plus que douleur et morsures, plus que désir et excitation aussi.
Pour clore cette punition, Pierre vint lui donner un baiser.. Léonor reconnu le parfum de l'homme de la cabine, elle s'écria alors :

- Trompeur ! C'était toi dans la cabine !

Pierre rit, puis repris sa contenance.

- Dis donc ! Depuis quand t'as la permission de me tutoyer ?! Jeune fille je crois que vous êtes mal partie !

Pierre détacha sa soumise et la rattacha au plafond comme la veille. Il sorti de la pièce et revint avec un grand bol rempli de glaçons. Léonor qui n'y voyait toujours pas se demandait quelle punition il allait encore inventer ! Soudain elle senti qu'on lui écartait les jambes.. Pierre lui attachait en effet les jambes au mur en face, de manière à ce qu'elles soient très écartés. Ses parties intimes étaient désormais à la merci de l'imagination de Pierre. Il attrapa alors quelques glaçons et lui introduit dans l'anus. Léo' au contact du froid gigota.. Les glaçons lui piquaient les reins. Pierre en introduit autant qu'il pu et mis une bassine sous Léonor.

- Si il y a la moindre goutte d'eau dans la bassine quand je reviendrai, je te promets Amour que tes fesses vont rester rouges quelques jours durant !

Léonor avait mal aux bras et aux jambes et elle allait sans doute devoir rester dans cette douloureuse position quelques heures.. Elle serra les fesses afin de ne pas échapper les glaçons, ce qui lui valu de désagréables sensations dues au froid. Mais là n'était pas le plus dur.. Le plus difficile serait de retenir l'eau quand les glaçons auront fondus.
En effet quelques temps plus tard Léonor avait mal au ventre non seulement par toutes ces courbatures dues à la position mais aussi parce que l'eau en elle lui était douloureuse. Des gargouillis venaient amplifier cette sensation de ballonnement.. Elle n'était pas habitué à ce genre d'expérience.. Heureusement Pierre arriva et la libéra.

La soirée se passa alors tranquillement entre eux.. Ils dînèrent et regardèrent un film, elle niché dans les bras sévères mais protecteurs de son homme.. Elle aimait ces moments de tendresse entre eux après une séance intense. Après le film il la porta jusque dans leur chambre leurs bouches collées l'une à l'autre..
Il la déposa tendrement sur le lit, ses yeux plongés dans les siens, il lui caressait les bras, les flancs jusqu'aux hanches et remonta emportant son t-shirt avec. Il lui embrassa alors le coup la léchant du bout de sa langue vigoureuse descendant au creux des clavicules, entre les seins jusqu'au nombril remontant vers le seins droit.. Il agaça le téton de sa jolie femme de la pointe de sa langue puis le prit en bouche le suçant, la léchant, le mordillant, le pinçant entre ses lèvres. Léonor commençait à haleter, ses seins étaient plus sensibles depuis qu'ils pratiquaient les jeux de pinces.. Elle se cambrait sous les caresses aimantes de son mari. Le sein gauche eu droit au même traitement. C'est ensuite son short qu'il retira.. Puisqu'elle était en pyjama elle ne portait pas de dessous, il eu alors un accès direct à son sexe humide de désir.. Il l'embrassa longuement sur chacune de ses parcelles puis inséra délicatement sa langue dans les chairs.. Lapant le jus d'amour de Léonor tremblant de plaisir. Il aspira dans sa bouche son petit bouton d'amour frétillant, tournant sa langue autour l'enveloppant et le suçant. Léo' n'était plus que braise, elle n'en pouvait plus elle aurait voulu qu'il la prenne là, sauvagement. Mais Pierre faisait durer le plaisir, il introduit deux doigts en elle tout en lapant son clitoris. La baisant de ses doigts, la léchant. Elle tremblait et se cambrait de plus en plus, la tête jetée en arrière les yeux clos et les mains crispées sur les draps.. Il lui offrit ainsi deux orgasmes..


Chapitre VIII

Léonor, après un pareil traitement souhaitait ardemment rendre la pareille à son aimé.. Elle le fit asseoir sur le lit et se mit à genoux devant lui. Elle le regarda un instant dans les yeux, un air coquin dans le regard et de la tendresse à l'état pur émanant d'elle tout entière. Elle prit alors le sexe déjà bien dur de Pierre et commença à le caresser délicatement. Pendant qu'elle le masturbait elle embrassa fougueusement son mari. Puis elle se pencha et vint lécher le bout de son sexe doucement, enroulant sa langue autour, le faisant frétiller de désir. Puis elle le prit en bouche et entreprit de profonds va et viens pendant que Pierre lui caressait amoureusement les cheveux. Elle le suça pendant de très longues minutes variant rythmes, intensité et profondeurs, lui caressant les bourses en même temps.. Puis pierre la souleva, l'allongea, écarta ses jambes et vint posant son gland contre son clitoris il la caressa ainsi quelques instants avant de présenter son pénis à l'entrée de sa grotte d'amour. Il poussait mais faisait en sorte de ne pas y entrer afin d'exciter au maximum sa dulcinée qui ondulait du bassin pour essayer d'être pénétrée. Il l'entra alors très lentement, puis entreprit de très lents va et viens avant d'accélérer le rythme. Léo' était en feu, elle n'allait pas être longue à jouir. Il allait et venait rapidement quand elle s'abandonna à la jouissance. Il s'arrêta quand elle eut jouit, il s'allongea à côté d'elle la prit dans ses bras.. Tout deux en sueur, essoufflés, haletant, elle tremblante. Ils se reposaient quelques instants, s'embrassaient. Pierre ne ramollissait pas il était plein de vigueur et d'envie.

Léonor se mit à quatre pattes, Pierre vint derrière elle et introduit lentement son sexe totalement bandé entre ses reins brûlants.. Oh diable c'que cette sensation était agréable ! Léonor se sentait pleine de son aimé, toute à lui, complètement possédée par lui.. Il agrippa ses fesses, elle ondulait du bassin, il alla fort en elle. Il savait qu'elle aimait qu'on la prenne bestialement et ce soir il voulait la combler. Il donna de grands accoups, elle se cramponnait au lit pour ne pas hurler son plaisir. C'est dans un concert de râles, de "hum", d' "encore", de "t'aimes ça" et autres bruits de jouissance que Léonor explosa pour la énième fois. Pierre continua à la besogner, elle tremblante, à sa merci.. Elle aurait voulu que ça dure toute la nuit. Mais Pierre était à son tour au bord de la jouissance, il se retira d'elle et jouit sur sa croupe, sa peau de nacre recevant le lait d'amour.

Cette nuit là Léonor et Pierre refirent l'amour plusieurs fois et jouirent encore et encore dans le plus grand amour qu'il soit. Une nuit d'amour intense.
L'éducation de Léonor continua. A ce jour elle est une soumise comblée et éperdument amoureuse de son mari et Maitre. Lui, entièrement satisfait et fier de sa soumise. Ce couple hors du comment voyait devant lui une belle route au pays du SM..
Qui sait ? Peut-être aurez vous le privilège de connaitre quelques unes de leurs aventures..

Par er0tisme - Publié dans : Textes et Récits d'er0tisme
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