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Dimanche 4 novembre 7 04 /11 /Nov 00:20

Chapitre 1

 

Gabriel travaillait chez Monsieur D. depuis bientôt six mois, il voyait souvent sa fille trainer dans le jardin. Les beaux jours arrivant, ses tenues se faisaient de plus en plus légères et ce n’était pas pour déplaire à l’employé.

Gabriel, la petite trentaine, châtain aux yeux noisette, était décorateur d’intérieur pour le compte de Patrick D., brillant membre de la profession. Par chance l’entreprise était basée chez ce dernier et Gabriel y possédait un bureau avec une grande baie vitrée donnant sur le jardin de la grande demeure. Il pouvait donc observer la jeune fille évoluer dans son jardin.

Lise, à peine vingt ans, avait toujours été habituée au luxe. Jeune fille charmante, blonde aux yeux clairs, de taille moyenne et d’une taille élancée, avait l’apparence des petites filles sages. A en croire son père, elle l’était, rien, dans sa vie, ne faisait un pli. Ses tenues étaient toujours impeccables, pas une tâche, pas un pli, sans défaut de goût ; elle avait obtenu son bac avec mention, était douée pour les langues, la musique, elle pratiquait le piano et la flûte depuis son plus jeune âge et était désormais engagée dans des études de journalisme. Ses parents l’avaient élevée avec des valeurs chrétiennes, aussi avait-elle décidée de rester vierge jusqu’au jour de son mariage. Et bien qu’on ne lui connaissait pour l’heure aucun petit ami, ses parents lui avaient déjà trouvé un prétendant : Julien. Vingt cinq ans, fils du meilleur ami de Patrick, il connaissait Lise depuis son plus jeune âge. Ils avaient tout simplement grandi ensemble, dans les mêmes valeurs et avec les mêmes principes. De plus, Julien, serait sans doute le successeur de Patrick à la tête de l’entreprise de décoration.

Gabriel pensait que Julien n’était qu’un petit blanc-bec boutonneux prétentieux né avec une cuillère d’argent dans la bouche. Tout lui avait été toujours donné, il n’avait aucune personnalité ni aucun charisme. A vrai dire, il ne pouvait supporter le jeune homme. Ils n’aimaient pas ces jeunes fraichement débarqués de leurs études, de leurs vies de luxe chez papa-maman et à qui la vie offrait tout. Sans doute était-ce un peu de jalousie qui orientait ses pensées. Depuis qu’il avait intégré le bureau, il observait la jeune Lise. Son air candide et naïf l’attirait, il avait toujours aimé initier les jeunes filles aux plaisirs qu’il aimait à pratiquer, et elle, avait tout de la candidate parfaite. Il aurait tout donné pour déniaiser cette petite bourgeoise coincée.

Cette après-midi là, baignée par le soleil, Lise s’adonnait à sa passion : les fleurs, les plantes et le jardinage. Elle avait toujours aimé la nature et depuis qu’elle était enfant possédait un coin de jardin rien qu’à elle où elle faisait pousser ce que bon lui semblait, tantôt des fleurs, tantôt des légumes, tantôt des plantes. Aujourd’hui elle s’occupait des petits rosiers qu’elle venait d’acquérir. Elle portait une robe légère à fines bretelles en coton pourpre qui mettait assez bien en valeur ses formes généreuses et ses longues jambes. A genou sur son lopin de terre, Lise creusait de ses fines mains afin de planter ses fleurs. Elle ne pouvait se douter qu’on l’observait et que de son mirador, Gabriel, avait une vue imprenable sur sa croupe gesticulant et que le vent dévoilait furtivement de temps à autre. Il décida de sortir pour voir de plus près la jeune fille. Il feint alors le besoin d’un document oublié dans sa voiture.

- Bonjour Monsieur, dit poliment Lise.

- Bonjour, lui répondit Gabriel d’un ton sévère et distant.

Lise se sentait toujours bizarre en voyant Gabriel, il avait ce je ne sais quoi qui méritait le respect, il respirait la sévérité, le charisme et pour ne rien gâcher, il était des plus charmant. Gabriel remarqua que la jeune fille s’empourprait lorsqu’il passait ou qu’ils se parlaient. Il récupéra un dossier dans son auto et reprit le chemin du bureau. Il s’arrêta à la hauteur de la jeune fille.

- C’est un beau jardin, un résultat mérité au vu des nombreuses heures que vous y passez.

- M..merci Monsieur, répondit-elle en rougissant.

- On sent que vous aimez obéir aux exigences de la nature, insista-t-il.

Elle acquiesça en rougissant de plus belle. Gabriel la regardait, elle agenouillée au sol, de son air froid. Il sentait qu’il la troublait et reparti content à son bureau. Il avait assis sa position face à elle et comptait bien continuer dans cette voie. Plus tard dans l’après-midi, Madame D. envoya sa fille dans les bureaux de l’entreprise prendre la "commande" des rafraichissements de l’après-midi. Julien profita de l’occasion pour jouer le coup quotidien de drague malhabile. Lise en était plus gênée que touchée, elle lui adressa un sourire complaisant et passa aux autres employés avant d’arriver à Gabriel qui ne leva pas le nez de son travail à son arrivée.

- M..monsieur Gabriel ? bredouilla-t-elle.

- Oui ? dit-il sans lever les yeux.

- Excusez-moi de vous déranger, ma mère voudrait savoir si vous voulez boire quelque chose ?

- Ah, c’est vous qui jouait la soubrette aujourd’hui ?

Il employait volontairement ce langage car il sentait qu’il ne la laisserait pas indifférente.

- P..Pardon ? Elle avait viré au cramoisi.

- Apporte-moi un café avec deux sucres.

Elle baissa les yeux et reparti. Un quart d’heure plus tard, la jeune fille réapparut la tasse à la main. Elle contourna le bureau pour déposer la boisson sur un coin dégagé. Elle se faisait aussi discrète que possible afin de ne pas déranger Gabriel qui simulait l’indifférence. Quand elle fut à côté de lui, qu’elle disposait le nécessaire, il passait discrètement une main sous sa robe. La jeune fille devint tellement rouge qu’on aurait pu la confondre avec une tomate, mais elle n’osa bouger.

- Mais que faites-vous ? Balbutia-t-elle.

- Chut, je sais que tu n’attends que ça, lui répondit-il en la caressant au travers de sa culotte.

Lise se mordillait à présent la lèvre inférieure.

- Je vous en prie.

- Tais-toi, ordonna-t-il. Je te fais de l’effet et tout ton corps appelle les hommes, ne le nie pas.

Elle ne dit rien.

- Passe sous le bureau, dépêche-toi, ordonna-t-il de sa voix la plus sévère.

La jeune fille sentait une irrésistible attirance mais elle était tout de même gênée et avait très peur. Malgré tout elle obéit. Une fois sous le bureau elle découvrit le sexe de l’homme qui commençait déjà à durcir. D’une main, il saisi la tête de la jeune fille et la colla sur son entrejambe. Il frotta son sexe sur le visage de Lise qui avait tellement honte de ce qu’elle faisait mais qui ressentait tout de même du désir pour cette figure sévère qu’il représentait. Il posa son membre sur sa bouche.

- Ouvre, se contenta-t-il de dire.

Ce qu’elle fit machinalement. Il enfourna alors le sexe dans l’ouverture de la jeune fille avant, de sa main empoignant ses cheveux, de le faire aller et venir. Lise sentait son intimité s’humidifier peu à peu quand elle entendit la porte du bureau. Gabriel bloqua son sexe au fond de la gorge de la petite bourgeoise.

- Gabriel, Monsieur Corletti vient de nous envoyer les plans de la bâtisse que l’on doit retravailler, dit Patrick D, le père de Lise qui, reconnaissant la voix se crispa sous le bureau. Je vous les laisse pour que vous les étudiiez.

- Très bien Patrick, je vois ça dès que j’ai terminé avec les croquis de la villa Marese, répondit-il le plus calmement du monde.

Discrètement il fit bouger la tête de la jeune fille paniquée sur son sexe.

- Bien, faites moi une note quand vous les aurez consultés.

Patrick quitta le bureau et quand la porte se referma, Lise tenta de se dégager.

- Tu n’as pas terminé ! Lui dit-il en maintenant fermement son étreinte et en la faisant aller et venir de plus belle. Il agit ainsi jusqu’à ce qu’il lui éjacule dans la bouche.

- N’avale pas, fais aller et venir la semence sur ta langue. Imprègne-toi de ce goût qui va te devenir familier.

Il la laissa ressortir de sous le bureau, lui ordonna alors d’avaler, vérifia que sa bouche était vide et lui ordonna de partir.

 

Chapitre II

Ce soir là, dans son lit, Lise repensa à cette expérience bien loin de sa petite vie tranquille. Sans même s’en rendre compte, ses doigts avaient investi sa culotte et elle caressait sa fourrure machinalement. Un doigt pénétra les lèvres protectrices, les caressa avant de s’attelait au petit bouton de plaisir. Lise avait souvent fantasmé de moments de soumission comme aujourd’hui mais elle ne pensait jamais les vivre. Peu à peu, elle ferma les yeux, entrouvrit les lèvres et glissa vers un plaisir qu’elle se donnait elle-même en pensant aux doigts de Gabriel la tripotant, fouillant son sexe à la merci, à son père qui aurait pu la surprendre faisant la putain sous le bureau d’un employé, à ce lait épais et chaud qui avait prit possession de sa bouche et glissé lentement dans sa gorge. Et Lise jouit avant de plonger dans des rêves de sexe, d’obéissance, de Gabriel.

Le lendemain matin, elle avait honte de ce qu’il s’était passé, qu’allait-on penser d’elle si ça se savait ? Ce jour-là elle n’osa pas aller au jardin, le lendemain non plus d’ailleurs. Après trois jours de cache-cache, alors qu’elle étudiait dans chambre, on ouvrit la porte. Gabriel avait réussi à se faufiler dans la pièce de la jeune fille.

- Mais que faites-vous là ? Demanda Lise surprise.

- A ton avis ?

- Allez-vous-en ! On ne doit pas continuer à faire ça, c’est mal ! Tenta-t-elle.

Gabriel s’approchait peu à peu d’elle, la poussant dans ses retranchements.

- Que vas-tu faire ? Obéir à cette morale stupide qui t’enferme dans une vie monotone et sans passion ou m’obéir à moi et te laisser porter par le plaisir, la luxure et l’imprévu ? Lui répondit-il de son ton arrogant.

- Je vais en parler à mon père si vous continuez ! Se défendit-elle.

- Fais donc, tu scelleras ton choix. Parle de notre aventure et tu ne me reverras jamais, tais-toi et tu consens à m’appartenir et m’obéir. Je te laisse exactement trois jours, si dans trois jours ton père ne me dis rien, ne me renvoi pas alors je saurais que tu as choisis ma voie. A bientôt jeune chienne.

Sur ces paroles, Gabriel repartit comme il était venu, laissant la jeune fille dans le doute et le dilemme. Que fallait-il ? Se laisser faire et s’abandonner à ce plaisir charnel dont elle rêvait si souvent en secret ou bien rester dans le chemin tracé par ses parents ?

Ces trois jours furent une torture pour Lise qui changea d’avis des centaines de fois. Au matin du troisième jour, Gabriel savait que Lise se donnerait à lui, il l’avait d’ailleurs toujours su. Il savait reconnaitre une soumise vicieuse quand il en voyait et cette gamine là transpirait le vice. Il laissa tout de même passer la journée et quand il allait partir, depuis sa voiture, il envoya un sms à la jeune fille.

« Rejoins-moi ce soir à l’adresse ci-dessous. Je t’y attendrai pour 22h, si tu n’y viens pas, on ne se reverra plus jamais. »

A la réception du message, la jeune fille eu une boule à l’estomac, un mélange de désir et de peur. Comment allait-elle pouvoir sortir discrètement. A 20ans, normalement, il n’y a pas de soucis, mais dans la famille de Lise c’était différent. Elle prit son courage à deux mains et alla trouver sa mère.

- Maman, je dois partir voir Annie, une copine de l’école, elle ne va pas très bien et a besoin de moi pour lui remonter le moral. Je dinerai avec elle.

- Oh ma chérie, c’est si gentil de ta part ! Tu veux que je t’y emmène ?

- Non, merci, maman. Je vais y aller seule, de toute façon je ne sais pas combien de temps je vais y rester, il est possible que j’y dorme.

- N’oublie tout de même pas l’Eglise demain, ma puce. Répondit la mère en embrassant le front de sa fille déjà sur le seuil de la porte.

Lise allait à l’Eglise avec ses parents tous les dimanches matins, sa famille était restée très croyante et non moins pratiquante. La jeune fille n’en revenait pas, elle ne se doutait pas que ce serait aussi facile. Elle se dépêcha de rejoindre sa voiture et se mit en route. Elle avait pris soin de mettre des affaires de rechange dans sa voiture, au cas où. Malgré tout elle hésita en chemin, y aller ? Ou pas ? Elle s’arrêta dans un fast food sur la route pour y réfléchir.

A 22h, Gabriel était fin prêt à recevoir la novice dans un petit hangar désaffecté qu’il avait acheté une bouchée de pain et retransformé en donjon. Quinze minutes plus tard, il entendit une voiture se garer sur le parking de l’immeuble.

Lise, n’éteignit pas de suite le moteur, elle profitait de ses phares pour regarder la bâtisse et les alentours. Elle n’était pas rassurée, ça avait un je ne sais quoi de glauque. Elle se décida tout de même à sortir du véhicule et à entrer. Elle poussa timidement la lourde porte en fer et pénétra dans une pièce sombre.

- Avance-toi jusqu’à la porte et ne te retourne sous aucun prétexte. Entendit-elle.

A taton, Lise avança jusqu’à ce qui semblait être une porte. Elle entendit quelqu’un arriver derrière elle, elle voulu se retourner mais repensa à l’ordre. De toute façon elle était bien trop impressionnée pour faire quel mouvement que ce soit. Elle sentit un tissu passer sur son front puis glisser sur ses yeux. Gabriel noua le bandeau fermement aveuglant la jeune fille qui s’en trouva que plus impressionnée.

- Tu vas te laisser faire, fais moi confiance, tu vas aimer. Lui dit-il au creux de l’oreille.

Il lui passa un de ces colliers de cuir avec un anneau de fer blanc autour du coup avant de lui ôter le string rose qu’elle portait sous une jupe courte noire, son caraco et son soutien-gorge. Pour finir, il fit glisser très lentement la jupe sur ses fesses pour exciter les capteurs sensoriels de sa peau de velours. Quand elle fut entièrement nue, il fit courir ses mains sur la poitrine ferme et dardée par le froid et le désir, puis sur les hanches et enfin les fesses de la jeune novices aveuglée et abandonnée. Lise sentie des frissons lui parcourir l’intégralité du corps pour finir leur course dans son clitoris. Elle se sentait s’humidifier et avait honte d’être ainsi à la vue d’un homme. Elle sentit qu’on lui attachait quelque chose autour de la taille. Gabriel lui ordonna ensuite de lever le pied gauche qu’il glissa dans un bas de nylon noir. Il fit de même pour la jambe droite avant de lui enfiler des escarpins à talons aux pieds. Il attacha les bas au porte-jarretelle qu’il avait attaché plus tôt. Enfin il lui dessina la bouche d’un rouge incandescent.

- Parfait ! S’exclama-t-il. Une vraie catin.

Lise rougit. Il attacha une laisse à l’anneau de son collier pour la guide dans la pénombre qui enveloppait la soumise. Elle tendait ses bras pour se repérer. Quand il se retourna, il vit les mouvements d’Lise pour se repérer.

- Que ces grands gestes sont disgracieux !

Il entrava les poignets de la jeune fille avec des menottes de cuir qu’il attacha entres elles. Lise était complètement désorientée, elle avait du mal à marcher avec ces chaussures et n’avait rien pour se retenir en cas de chute ni pour se repérer pour en éviter une éventuelle.

- Dorénavant, je t’appellerais Dolly. Tu seras la chienne Dolly. Obéissante et respectueuse envers son Maître. Avance Dolly !

Et la nouvellement baptisée Dolly avança guidée par Gabriel.

Ils se trouvaient maintenant en plein cœur du donjon et elle fut assise sur une table froide, en métal, Gaby attacha ses bras à un anneau au plafond. Il la contempla un moment avant de s’approcher d’elle. Il caressa sa croupe, lui fit remonter les jambes sur le bord de la table avant de les entraver à leur tour. Il les plaça dans les étriers de la table et y attacha les anneaux des entraves. Dolly était désormais allongée sur la table, son intimité dévoilée, grande ouverte. Gabriel passa deux doigts sur son clitoris gonflé par le désir, il le tapota avant de glisser sur ses lèvres trempées. Il humecta bien ses doigts des sucs de la jeune fille avant d’aller étaler le liquide sur son anus. Lise avait la chair de poule et se sentait humiliée qu’on la voit ainsi et qu’on touche à cette partie de son anatomie. Doucement l’homme introduit un doigt dans l’anus vierge de toute pénétration. Il le fit coulisser lentement pour ne pas lui faire mal et pour bien lubrifier l’orifice. Il allait de plus en plus vite quand il introduit un deuxième doigt. Dolly commençait à haleter. Elle n’avait jamais songé que des caresses anales lui procureraient autant de plaisir. Son ventre soumis à ses brèves respirations, se soulevait et se baisser en rythme. Gabriel l’enculait de ses doigts et elle adorait ça. Il sorti les doigts de son petit trou quand il la sentit dans un grand état d’excitation, il les frotta sur la bouche et lui ordonna de les lécher. Dolly hésita puis obéit. Il fit pénétrer ses doigts souillés du lubrifiant de Lise au fond de sa bouche, les essuyant sur sa langue. Il décida alors de la dépuceler. Il attrapa un gode fin, le lubrifia sur les lèvres de la jeune fille qui appréhendait ce moment. Tout doucement il l’enfonça dans la grotte de celle-ci, brisant l’hymen. Lise réprima un petit cri. Il l’entra finalement entièrement avant de le faire ressortir puis ré-entrer. Il essuya le mince filet de sang puis entreprit de faire jouir la jeune fille en guise de récompense. Il caressa énergiquement le clitoris de Sa chienne, le prit entre ses lèvres, le lécha, le suça et ce jusqu’à ce qu’elle jouisse. Il lui laissa alors quelques instants pour se reposer et se remettre de ses premières émotions.

A suivre......

Par er0tisme - Publié dans : Textes et Récits d'er0tisme
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